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Nous sommes au début de l’an 2000, le changement de siècle à marqué la fin d’une ère. L’Europe est maintenant transformée, animée par des courants de magie noire. Parmi tous les pays Européens, ce sont la France et le Royaume Unis les plus touchés.
Ce dernier, notamment, est sous la domination de Vous-savez-qui.

Mais, vous devez vous demander comment une telle situation a put être imposée. La réponse, à la fois simple et compliquée, se trouve dans une seule personne, aujourd’hui décédée, Harry Potter.

Il était censé devenir notre héros, on l’appelait le survivant. Tout au long de sa courte vie, il a rencontré Vous-savez-qui six fois, la première, il était âgé d’à peine quelques mois. Le mage fut réduit à presque rien en tentant de le tuer. La dernière fois, celle ou il aurait du l’achever fut de trop. Harry Potter était âgé de 17 ans, il était en fin de septième année. Le lord investit Poudalrd et, leur grand combat se déroula dans les couloirs du château. Nombre d’élèves moururent mais, le Lord eut raison d’Harry. Le jeune homme mourut sous les yeux de ses amis.

Après sa mort, le pays a plongé dans le chao. Personne n’avait put imaginer que l’élu de la prophétie puisse être terrassé par Vous-savez-qui, le pays n’était donc guère préparé. Le Lord put donc agir en toute impunité avant que l’ordre du phénix ne se reforme avec à sa tête un nouveau chef.
Quelques mois seulement après le décès d’Harry Potter, le ministre de la magie tombé et, entrait sous la coupe du Lord. Ce dernier ne laissa Rufus Scrimgeour au pouvoir, qu’à la seule condition qu’il se conforme à ses ordres. Ce dernier le fit d’ailleurs sans rechigner, tenant trop à sa vie.

Ce fut une triste période. Seuls, les quelques membres de L’ordre du phénix ne pouvait rien faire pour entraver les avancées des forces du mal. Mais, alors que l’on pensait l’Angleterre définitivement perdue, un groupe de sorciers se forma. Ils étaient majoritairement Anglais, mais quelques Français, Allemand, Bulgares et Américains s’étaient joints à eux. Tous étaient très puissants. Ce furent les fondateurs de la résistance.
Ce mouvement s’allia à l’ordre du phénix et, ils gagnèrent des partisans. Une véritable lutte à mains armées s’engagea. Les armes moldues étaient meurtrières, plus discrètes et, pour certaines, dangereuses, que la magie. La résistance en usa beaucoup. Quelques moldus restant, rejoignirent leurs rangs. Beaucoup de sorciers venant de familles moldues aussi.

Malheureusement, le mal était fait. L’Angleterre était dépeuplée, les moldus, croyant que la fin du monde approchait et, qu’elle frapperait d’abord leur pays avaient, pour la plupart fuit, ceux qui restaient avaient été exterminés. Les sorciers appelés méchamment « sang de bourbe » étaient eux aussi traqués puis tués. Les dragons, géants, troll et autres créatures maléfiques pullulaient, décimant des villages.
Les combats entre sorciers se déroulaient aux yeux de tous, c’était l’anarchie la plus complète. Pourtant, beaucoup de sorciers refusaient de prendre partie, préférant se la couler douce en laissant les autres faire le boulot.

Terrible période, c’est sûr, pourtant, en deux ans, la situation à un peu évoluée. Les adeptes du bien ont réussis à convaincre de nombreux sorciers et, ils ont assis leur réputation, contrôlant à présent plusieurs quartiers de Londres. Nous savons qu’en ce moment, leur grand rêve est de reprendre Poudlard, l’endroit de tous les mystères. Ils pensent en effet, qu’une arme capable de détruire à tout jamais le Lord Noir y est cachée. Mais, il y a des doutes, après tout, l’on avait déjà mit tous les espoirs sur un garçon, garçon qui a échoué !

Fin Janvier de l'an 2000...
Les nouvelles ne sont pas toutes bonnes... mais pas toutes mauvaises...

• Severus Snape et Drago Malefoy, en cavale depuis l'assassinat de Dumbledore, ont leurs têtes mises à prix. Severus Snape est recherché par Lucius Malefoy (revenu d'une mission d'Horcruxe) qui doit le ramener au Maître Suprème. Drago, quant à lui, est recherché par un moldu (loup garou et barman à ses heures perdues) nommé Kruu, alias Le Cobra.
S'étant séparés il y a maintenant quatre mois, il n'ont plus de nouvelles l'un de l'autre. Nous sommes tout de même en mesure de vous dire qu'ils sont entre de bonnes mains. Severus est à Loutry Ste Chaspoule, village de collabo ou il a trouvé refuge chez une certaine Enzelta de Rocan. Drago Malefoy a lui préféré allé chez une de ses tantes, Alwina d'Handyvoir.
• Eos Kintefour, Chef du réseau de la Résistance a été cruellement tué torturé puis tué par Narcissa Malefoy, il nous reste à élucider ce qui suit : Narcissa a-t-elle réellement torturé celui-ci ou a-t-elle demandé à quelqu'un de l'aider ? Agissant sans ordres, elle a déçu son maître. Mais elle a put lui donner un nom. Le nom de celle qui reprend les rennes de la Résistance : Enzelta.
• Enzelta de Rocan se voit donc forcée de démissioner du bar ou elle travaillait avec ce Kruu, moldu, mangemort, qui peut nuire à sa vie.
• Galwen Stendford, mangemorte émérite, de l'âge de Bellatrix Lestrange, a déserté les rangs, suite à une retrouvaille entre elle et Remus J. Lupin, les jumeaux Rigor Rude et Mortis Meadmore sont chargés de les retrouver et de les ammener au Maître.
• Théodore Nott, mangemort est aussi résistant. Il est le seul à avoir réussi à faire une faille dans les rangs noirs. Avec Narcissa Malefoy, il a été chargé de pister sa comparse Enzelta de Rocan.
• Dernière petite chose... il paraitrait que Lord Voldemort envisage de réouvrir Poudlard. Le Château, entièrement rénové pourrait donc à nouveau accueillir des élèves dans les jours à venir. Une certaine Lempicka Lederman, camarade de promotion à Poudlard, pourrait être mise à la direction...

Une nouvelle année scolaire est sur le point de commencer. Ombrage, grande Inquisitrice, crée la Brigade Inquisitoriale, alias B.I. Les Serpentards se ruent sur les postes libres et tous leurs opposants se dépèchent de s'inscrire dans l'organisation connue, peu connue certe, sous le nom d'Armée de Dumbledore, alias A.D.
Mais là n'est pas la question, elle est plutôt dans votre choix. Alors B.I ou A.D faites vite votre choix, le temps vous est compté et les ennuis arrivent vites : entre missions secrètes dans les deux camps et ennuis exterieurs vous serez vites assaillis mais restez calmes et soyez sans craites, quoi qu'il se passe, vous en serez toujours en courant grâce à la Gazette de l'école qui raportera fidèlement, sans prendre position et toujours avec humour.

Un homme s'effondra dans une ruelle sous le regard étonné et curieux de passants. L'inquiétude se lisait sur leur visage et peu à peu ils formèrent autour de lui, formant un cercle respectueux. Une nouvelle victime. Une de plus. Cet homme n’était plus grand-chose. Juste une enveloppe charnelle qu’il traînait avec lassitude. Une ombre était cousue à ses pieds et des millions de fois l’idée d’en finir avec tout ça l’avait traversé. Une large plaie béante dans son dos vidait son corps de son sang. Des éclats d’argent étaient plantés vivement sa chair, la laissant meurtri. Ce n’était pas une victime comme les autres. Pour comprendre, il faut revenir quelques mois plutôt mais cet homme était…

Marx Stieglitz se laissa lourdement tomber dans son fauteuil au revêtement en cuir usé. Il joignit ses mains sur son ventre puis, en se basculant légèrement, il parvint à poser ses pieds croisés sur son bureau fait de verre et d’acier étincellent de propreté. Son bureau était vaste mais vide. L’odeur impersonnelle du tabac froid flottait dans cette pièce plongée dans semi obscurité. Les franges des rideaux en bateau étaient fermées. La seule lumière parvenait de cette vitre sans teint qui lui permettait d’observer ses employés sans qu’ils ne le voient. Tous planchaient sur cette affaire mystérieuse et incompréhensible aussi clair qu puissent paraître les indices. Voilà à quel état pitoyable était réduite les Forces Spéciales. Ils disposaient des meilleurs agents sur le terrain, d’excellents scientifiques, de snipers de pointe, d’arme perfectionnées spécialement pour eux et de méthodes d’enquêtes dernier cris et pourtant l’épais brouillard qui les entouraient était plus résistant que n’important quoi. Cet épais brouillard avait un nom : l’incompréhension. Il jeta un coup d'oeil pensif à la pendule qui affichait l'heure et le jour : Février 3 - 20 h 12.

Voilà trois semaines que nous travaillons tous sur cette affaire morbide et nous ne parvenons pas à aboutir sur quelque chose de sensé. Pourquoi ? C’est impossible. Ce meurtrier n’est pas un surhumain, il a forcément une erreur quelque part qui nous permettrait de…, songea Stieglitz puis ses pensées furent interrompues par une de ses hommes qui frappait discrètement à la porte où une plaque chromée portait son nom en tout honneur.

« Entrez. »

Un jeune homme frêle se glissa dans l’ouverture de la porte et referma derrière lui. Sous cette tignasse rebelle se cache un génie, avait toujours assuré Marx avec conviction. Le jeune homme était du genre de ceux qui se nourrissent lorsqu’ils ont le temps et l’argent. Sa grande silhouette était semblable à celle d’une branche. Fine et grande. Ses cheveux blonds était un peu trop longs et n’avait aucun ordre. Ses petits yeux perçant se cachaient en permanence derrière d’épais verre en cul de bouteille pour protéger son regard des ondes de son écran d’ordinateur. A le voir ainsi, beaucoup avaient du mal à croire que cet homme faisait parti des Forces Spéciales du pays. Il avait plus l’air d’un adolescent égaré que d’un fervent scientifique et brillant par-dessus le marché. La Taupe, nommé n°47 pour tout le monde, tandis une feuille imprimée à Stieglitz qui redoutait de voir ce qui était sur cette feuille. 47 continua de tendre le papier, patient et silencieux comme si le respect lui liait les mains et cousait ses lèvres minces.
Stieglitz finit par s’emparer du document, parcourant fiévreusement la page.

Un serial killer serait toujours libre dans nos rues et ses victimes sont toutes semblables et différentes à la fois. L’Homme Masqué a encore frappé hier soir alors que la nuit n’était faite que d’encre et de fantôme. Des témoins disent avoir vu danser furtivement son ombre contre un mur mais rien de plus. Au petit matin, une femme ivre qui sortait par la porte de service d’un bar aperçu, je cite, « un loque humaine par terre ». Lorsqu’elle s’était approchée, malgré son état d’ivresse, la peur l’envahit comme la peste et a fui en hurlant vers le commissariat. Lorsque les forces de l’ordre ont investit les lieux, ils découverts là une victime qui présentait les même caractéristiques que les autres victimes à savoir, l’absence total de sang dans le corps ou sur le sol, aucune trace de lute, une ecchymose au dessus de la clavicule et une tension cadavérique hors du commun, même des heures après la mort. Le médecin légiste annoncera cette après-midi même si la cause de la mort est semblable à celle des autres : incompréhensible ou si il est mort d’un poison ou d’autre chose. Nous pouvons vous affirmer avec certitude chers lecteurs que le mort est comme les autres et que l’autopsie ne révélera strictement rien comme sur les victimes précédentes. Souvenez vous de cet Homme Masqué. Il peut être n’importe qui mais surtout, n’importe quoi. Les Forces Spéciales sont dans une impasse et nous doutons tous qu’ils sont véritablement capables de mettre fin à ce cauchemar. Toutes ses victimes, tout ces innocents…
Il n’existe aucun lien apparent entre chacun défunt hormis leur façon de trouver la mort ce qui prouve qu’il s’agit là bel et bien d’un serial killer qui agit méthodiquement en répondant à des critères spéciaux. Les victimes ne se connaissaient pas, elles n’ont pas toutes la même nationalité, elles n’habitent pas toutes dans le même quartier, leurs métiers sont opposés, ainsi que leurs études, leurs habitudes ou leurs liens familiaux. Et si la clé de cette enquête était cette ecchymose ? Nous vous promettons de mener notre enquête de notre côté de façon à vous tenir au courant cher lecteur. Pour votre sécurité nous vous rappelons que l’Homme Masqué est un gentleman d’apparence, de taille respectable qui n’apparaît que dans des endroits où la fête est de mise. Il faut au plus vite stopper cet homme si vous ne voulez pas voir votre famille réduite à un ou deux membres…

Stieglitz cessa de lire l’article, le jeter dans sa corbeille à papier en poussant un râle rauque de rage. Une veine battait à sa tempe tandis que son regard n’était que haine et colère et pourtant, 47 resta stoïquement devant son chef, la corbeille renversée par la violence du lancé s’était vidé à ses pieds mais il n’esquissa pas le moindre mouvement.

« Ces fumiers !, vociféra Marx hors de lui. Il s’était levé, repoussa avec violence son fauteuil. Ces fumiers osent dire que nous ne sommes que des incapables. Ils nous traînent dans la boue comme des moins que rien ! Vermines ! »

Ces jurons se multiplièrent, de plus en plus fort et filtrait à travers la porte, parvenant aux oreilles de ses employés qui fixait la porte avec dubitation. Il semblait impossible d’éteindre le feu de rage qui coulait dans ses veines comme un poison aux effets nocifs. Il renversa tout ce qui gisait sur son bureau, brisant une horloge aux mécaniques et rouages apparents qui était protégée sous une cloche en verre. Ses papiers virevoltèrent autour de lui et le silence abrupt se fit lorsque les feuilles caressaient doucement le sol, tombant en se balançant doucement.

« Ce sont des Vampires Chef. Des Vampires… »

Ces mots furent prononcés par une voix fluette et enfantine. Stieglitz releva brusquement la tête, fixant son employé qui s’était passionné pour ses pieds. Etait-ce lui qui avait parlé ? Le doute s’insinua dans l’esprit de Marx comme un serpent qui soufflait à Eve de saisir la pomme. Il se raidit, fixant durement ce jeune homme au look décalé. T-shirt trop grand, jean délavé et baskets qui avaient vu des jours meilleurs. « Un adolescent qui n’a jamais grandit », songea Stieglitz. Il porta sur lui un regard méfiant et se rassit doucement dans son fauteuil sans quitter la Taupe du regard. Pourquoi l’appelait-on ainsi ? Ah oui… Il savait tout sur tout le monde, s’introduisant la vie de chacun comme s’il existait depuis…toujours.

« C’est vous !, clama Stieglitz en repartant dans un excès de folie. Vous ! Je vais vous faire empaler ! Vous m’entendez ? Empalez ! Vous allez crever ! »

47 ne broncha pas. Il ne pâlit pas. De toute manière, c’était une chose impossible, sa peau était aussi laiteuse que diaphane. Il n’avait jamais dit son véritable nom. Personne ici ne savait comment il s’appelait, comment il avait de telles connaissance ni où il habitait. Son visage n’était qu’un masque d’indifférence et de paisiblement. Du moins c’est ce que cru voir Stieglitz lorsque 47 releva la tête doucement, fixant durement son patron sans aucune trace de haine et pourtant quelque chose de sauvage dansait dans ses prunelles noires. Ses yeux n’étaient-ils pas vert gris avant ? Ses gestes étaient fluides et aucune trace de peur n’était visible en lui. Il retira ses lunettes, les laissa tomber à terre avant de poser son pied dessus, réduisant les verres à l’état de brisure. Un rictus sarcastique déforma son visage parfait que Stieglitz apercevait pour la première fois, du moins c’est la sensation qu’il avait. Sans le savoir, il prononça ses dernières paroles humaines :

« Les...Les Vampires n’existent pas. VOUS N’EXISTEZ P… »

Avant qu’il puisse finir sa phrase, la Taupe était sur lui. Il s’était jeté avec une force inhumaine et saisit brutalement Stieglitz par la gorge avec ce même éclat sauvage au fond des yeux. Brusquement Marx y lu la fin de sa vie. Il priait Dieu pour perdre connaissance mais rien de semblable ne se produisit. Il tenta de se débattre, laissant échappé des glapissements de terreur. Ses yeux cherchant follement quelque chose qui pourrait le tirer de là. Son visage était farineux mais de grosses gouttes du sueur froide perlait sur son front plissé son l’effet de l’horreur. Il s’humecta les lèvres puis il entendit un atroce hurlement. Il comprit que ce cri plaintif sortait de sa propre bouche tordue par la douleur. Ses muscles s’étaient raidis et son corps s’était arc bouté sous une souffrance atroce. Il sentit quelque chose d’important le quitter tandis qu’autre chose, semblable à des lames de rasoir invisibles labouraient ses veines dans son corps entier. Ce poison le ravageait, brûlant chaque partie de son être. Sur une échelle de un à dix, la douleur était à douze, au point qu’il perdit connaissance. Sa tête tomba sur son torse. Quelqu’un ou quelque chose le relâcha. Il s’écroula au soleil comme une vulgaire poupée de son.

« Tu fais erreur Stieg. Tu te trompes et ça te coûte ta précieuse vie. Maintenant tu auras une vie dont tu ne voulais pas, pour toujours…Si les Vampires n’existe pas, tu n’existes plus à partir de maintenant… »

47. La voix sourde et granuleuse provenait de 47 qui en vérité n’était autre que Caïn, fils de Lilith et Adam. Premier vampire à exister. L’Unique enfant fruit de luxure et de la stupidité des hommes, ces derniers étaient représentés par Adam, tandis que Lilith représentait la luxure même. Caïn avait toujours mépriser les êtres humains et entretenait une relation purement…alimentaire avec eux. Ils n’étaient rien d’autres que des sources de sang apportés sur un plateau d’or. Caïn venait d’infliger une nouvelle vie à Stieglitz pour l’avoir sous estimer à cause de l’apparence. Maintenant ce temps était révolu. Stieg, comme il aimait l’appeler, ne trouvera le repos éternel que si un jour l’argent trempé vient se planter en lui…

17 juin – 15 h 42.
L’homme venait se s’effondrer dans la rue et déjà autour de lui s’amassait curieux et gens du coin, tous inquiet et pétrifié par la peur. Les pensées et les paroles des badauds se mélangeaient et s’entrechoquaient, formant un sac de nœud sans réponse et horrifiant. Qui est-il ? Va-t-il mourir ? Bien sûr qu’il va mourir ! Regardez cette blessure ! Appelez une ambulance...Oh mon Dieu que lui est-il arrivé… Croyez vous que c’est le gentleman qui a fait ça ? Non, le gentleman tue méthodiquement. Et si c’était lui l’Homme Masqué ? Une épaisse tâche visqueuse s’étendait progressivement comme une nappe sanglante tiré sous le corps de l’homme agité de légers spasmes qui le quittaient en même temps que la Vie. Lentement il se glissait dans les bras de la Mort pour ne plus en échapper. Un sourire étira tristement ses lèvres bleutées. Enfin. Enfin il allait mourir comme tout le monde…Un homme blond de taille respectable et à la silhouette masculine agréable se fraya un chemin parmi la foule dense et compact qui créait un rempart solide autour du mourrant. L’Ambulance avait été appelé. L’homme mystérieux planta son regard glacial dans celui de l’homme étendu au sol et ce dernier, aussi étrange que cela puisse paraître, poussant quelques gémissements craintifs en se recroquevillant. L’horreur tordit une dernière fois son visage puis il se figea. Il était mort. Le jeune homme blond – qui semblait avoir entre vingt cinq et trente ans- disparu sans que personne ne l’ait remarqué, hormis le mort. L’ambulancier arriva quelques secondes trop tard. Le froid avait déjà gagné le corps de la victime…

« Rubrique nécrologie.

Stieglitz Marx Anthony est mort le 17 juin 2040 aux environs de seize heures moins vingt. La cause du décès serait apparemment un couteau planté dans le dos ou un coup de fusil malencontreux. L’autopsie est en cours mais l’infirmier nous a confié que le mort possédait des canines étranges et qu’il portait une ecchymose violacée dans le cou, au dessus de la clavicule gauche. Nos craintes sont confirmées, les vampires existent et d’ici deux ans, ils auront pris le pouvoir. Toutes nos condoléances aux proches du défunt. »

Que feriez-vous si vous aviez la possibilité de changer le monde ?

Treize enfants, une clé, une boîte à ne jamais ouvrir…


Ve Siècle.

Merlin et sa magie voyait le jour. Une magie ancestrale, aboutie, elle n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui. D’anciens écrits étaient toujours découverts permettant de perfectionner ce qui existait déjà.
Pendant que les chevaliers de la table ronde parcouraient le pays toujours en quête du Saint Graal, un étrange parchemin fut découvert... Il était différent de tous les autres, beaucoup plus ancien en apparence, et décoré d’une écriture antique qui était jusqu’alors inconnue. L’écrit fut ramené au roi, mais en tant que simple mortel il restait aveuglé par sa croyance et ne vit pas l’importance que pouvait avoir ce simple papier indéchiffrable.
Il fut déposé dans une des nombreuses bibliothèques du château, et y dormit en secret pendant un certain temps. C’est Merlin lui-même qui le trouvât à nouveau, et comprit la grandeur de la découverte. Après de nombreuses et infructueuses recherches pour le traduire, il s’inclinât, et s’adressât à un confrère. En effectuant la traduction, le sorcier comprit l‘importance de l’histoire qui y était conté, mais surtout, il sentit le danger. Il le transposât en ancien Gaëlique et sans l’autorisation de Merlin, la diffusa dans le royaume entier. Voila ce que les yeux des sorciers du monde purent découvrir :

Durant de nombreuses années les dieux ont régnés sur la terre, les humains et les sorciers n’étaient que des esclaves pour assouvir leurs envies. Quatre dieux pour quatre éléments : Shiva déesse des mers et océans, Windy déesse des tornades, Ahuri dieu des terres et Abernathy déesse des volcans et du feu.
Chacun avait sa parcelle de terre très distincte et respectait la vie des autres mais des démons apparurent alors chez l’un d’eux : La colère et l’envie. En effet Abernathy devint très vite déesse de la rage et de la jalousie. Envieuse du pouvoir des autres, elle se créa une armée dans l’ombre et chercha à augmenter son pouvoir.
Pour cela elle créa l’essence de son envie. Un liquide extrait de son corps qui absorbait sa haine ne faisant qu’accroitre sa force.
Hélas pour elle le mot parvint aux oreilles des autres éléments qui créèrent une riposte digne de ce nom… Chacun fut affaibli et Abernathy fut contrôlée. C’est à cet instant que les humains et sorciers s’allièrent afin de reprendre le pouvoir. Les dieux trop faibles ce sont soumis à la bataille, offrant leurs biens. Mais le seul moyen de maitriser la déesse du feu était de la faire disparaitre.
Sa tête tomba et son corps fut éparpillé dans le monde entier. C’est en treize parties que sa chair fut divisée, le même nombre de souverains sorciers fut désigné afin de conserver chacun des morceaux. Ils furent marqués de la marque du Sabat et eurent pour mission de dissimuler leur cadeau empoisonné. L’essence de son pouvoir fut enfermée dans une boîte surnommée « Pandore » déposée en lieu sur, au centre des treize points culminants.
Le temps fit son œuvre effaçant les vestiges de ce règnes, la population oublia en quelques générations ses évènements ainsi que les souverains… cette histoire ne vit qu’à travers cet écrit : l’écrit de la création.

Le parchemin fut alors lut et attira de nombreuses convoitises. Les sorciers axèrent leur recherchent afin de trouver cette boite si précieuse… Mais une prêtresse, une prophétesse eut une vision : « Le malheur s’abattra sur le monde lorsque cette boîte sera ouverte ». Les groupes de recherche furent dissous par les unités magiques supérieures et très vite la prophétie redevint une légende qui devint une histoire oubliée… L’écrit fut sceller dans un grimoire et mis en lieu sur… là où il dormit durant plusieurs siècles.


2001

La légende refait surface. Le parchemin vient d’être retrouvé au cours d’une banale mission mené par le chef des aurors lui-même, tout comme les chevaliers, 16 siècles auparavant. Le document à été ramené au ministère de la magie où des experts en on fait la traduction.
La prophétie, jusqu’alors inconnue dans le monde des sorciers, finie par filtrer, malgré les recommandations de certains afin de la garder secrète… Sa publication ne se fait pas attendre et de nombreux groupes de sorciers décident de partir à la recherche de ce trésor… qui parviendra à obtenir ce pouvoir ? Comment le monde se retrouvera suite à cela ? Seul celui qui mettra la main sur cette boîte de pandore le saura… voila la prophétie de Pandora !

Nous sommes en 2oo8.

Et si les mangemorts n'étaient plus une menace pour les autres sorciers, mais les moldus eux même?

Le 1er ministre, par jalousie envers son Ministre de frère et sa peur de la magie, lance alors une propagande anti-sorcier, et pousse la population anglaise à entrer dans une chasse sans relâche. Côté magique, l'Ordre du Phénix se reforme pour lutter contre cette menace impensable. Mais le monde magique doit aussi enquêter sur un meurtre, une lourde perte qui a fendu les coeurs: le survivant.

Eléa Spencer se trouve en tête d'un groupe nommé les protecteurs, visant à protéger les autres sorciers de cette traque sanglante. Poudlard devient donc un lieu ou les adultes apprennent aux élèves à se battre et à se protéger.

Calixte Spencer, de son côté, a formé les chasseurs, ces sorciers passant pour des moldus auprès du premier ministre. Ils veulent éliminer les sorciers aux sang impurs, ce sont eux qui sont à l'origine de l'extermination en cours des Sang de Bourbe.

Et enfin les moldus, certains choisissent d'être protecteur des sorciers, et d'autres des chasseurs. La plupart n'hésitent pas à dénoncer des sorciers de leurs propres familles.

Trois groupes, lequels allez vous rejoindre?

Depuis des générations de cela, deux anciennes familles de sorciers au sang-pur respectées se vouent une haine épouvantable. Un déchirement les consume et cette haine héréditaire s’est transmit de générations en générations. A chacune des rencontres entre deux membres des deux familles, la dispute explose, les paroles laissent place au duel. Il est fréquent que Ste Mangouste accueille les uns et les autres suite à des blessures infligées par des sortilèges. Bien qu’aucun mort ne soit à déplorer dans les deux camps, leurs affrontements sont toujours très violents, voir sanglants.

Les Summers d’un côté, les Darkholme de l’autre, les deux familles font ce qu’elles peuvent pour tenter de s’éviter. Cependant, bon nombre d’entre leur membres travaillent au Ministère de la Magie. Il est donc difficile de ne pas se voir dans un tel endroit. Toutefois, la guerre la plus virulente n’a pas lieux au Ministère mais à Poudlard. En effet, il y a sept ans de cela, les deux enfants cadets des deux familles ont eut la désagréable surprise de se retrouver ensembles à Poudlard.
Roméo Summers et Juliette Darkholme sont tous deux de brillants étudiants. Respectivement à Serdaigle et à Gryffondor, tout les prétextes sont bons pour se lancer dans une nouvelle bataille. La Coupe des Quatre Maison, la Coupe de Quidditch, tout est sujets aux discordes des deux jeunes élèves. Chacun d’eux a trouvé des alliés pour former son propre clan. L’affrontement entre Roméo et Juliette s’est donc étendu au sein de l’école, qui vit sous les tensions permanentes, malgré les tentatives de réconciliation.

Fanfiction Harry Potter's Addict est un forum de fanfiction sur le monde de notre sorcier préféré. Lecture, conseils et bonne humeur sont les mots qui ressortent de ce forum.

Il y a quelques temps encore, les jours passaient tranquillement, au rythme des hommes, des crises économiques, écologiques, militaires et autres...
Pourtant, quelque chose a dû arriver, puisque même si la vie n'était pas rose, elle est subitement devenue pire, vraiment pire...
Un virus, probablement, non pas foudroyant, mais tout de même ennuyeux. Tuant à petit feu ses victimes, aujourd'hui quelques six milliards, il se répandit dans le monde en quelques jours ou semaines, peu importe, maintenant il est partout...
Cela aurait pu être la fin de l'humanité, et tout le monde aurait trouvé ça logique, vu la tournure que prenait les choses, et pourtant, il n'en est rien...
Ce n'est pas que ce qu'il reste de notre "glorieux" passé fasse de nous une espèce à part et qui mérite de subsister, mais c'est bel et bien ce qui est arrivé, nous ne sommes qu'une poignée, mais nous existons toujours...

Bien sûr, nous nous organisons peu à peu, essayant de nous regrouper, de ne pas rester dans notre coin, mais les choses ne sont pas si simples...
Nos proches, les gens que nous connaissions, tous sont morts. Nous nous retrouvons entre inconnus, au milieu d'un océan de victimes.
Les victimes, en réalité, c'est peut-être bien nous. Nous qui sommes seuls, démunis, nous essayons de survivre, et pourtant, nous savons bien qu'il n'y a pas grand espoir que les choses s'améliorent, car ce monde n'est plus le notre...
Si le virus avait mis fin à la vie de tous ces gens, nous aurions pu tenter quelque chose, comme repeupler la planète, bâtir, recréer, faire ce que bon nous semble. Malheureusement, il y a des choses qui sont et demeureront impossible...
La puissance du vampire tient en ce que personne ne croit en son existence. Voilà, la réalité, voilà notre réalité...

Il est possible de constater rapidement l'évolution des choses. D'abord, le virus s'est répandu auprès de personnes affaiblies, on ne sait réellement d'où il vient, mais il existe quand même. Puis il a réussi à prendre place dans des organismes plus résistants, qui eux, ne sont pas morts aussitôt, mais ont commencé à muter, lentement, mais surement...
En passant par différents stade, les personnes touchées par le virus (baptisé "Vampirys") se transforment peu à peu en être dénués d'esprit, de sentiments, de vie...
Le problème est qu'ils sont contrôlés par Vampyris et agissent pour lui, contribuant à sa diffusion parmi les individus jusque là sains. La contamination se faisant par le sang, nous assistons à des scènes de cannibalisme d'une sauvagerie extrême, des attaques de meutes de contaminés, des traques, des assauts...
Bref, nous avons affaire à des mort-vivants, c'est le terme le plus approprié, il me semble. Il ne sont attirés que par une chose, le sang, et si possible, encore chaud. Le notre, en fin de compte...
La seule chance que nous avons est que plus le temps passe, plus le virus détruit les organismes. Si les victimes de celui-ci agissent d'abord de manière réfléchie pour tenter de nous avoir, puis leurs neurones finissent par se détériorer, les faisant devenir des animaux, voire même des créatures purement instinctives, ne pouvant même survivre que la nuit...

Il nous arrive de les affronter, malgré qu'ils soient infiniment plus nombreux que nous. En fait, il suffit de les vider de leur sang pour les mettre à mort. Pour cela, certains d'entre nous ont été désignés, les chasseurs. En causant d'importantes hémorragies aux vampires ou les mutilant, ils parviennent à réduire faiblement leur nombre et les tenir assez éloignés de nous pour avoir un minimum de liberté...
Bien sûr, ce n'est pas grand chose, mais ce n'est pas négligeable. Nous trouverons peut-être un moyen de nous défendre efficacement contre eux, il se peut même que leur organisme affaibli ne tienne pas si bien éternellement, c'est sans doute une question de temps...
Nous organisant comme nous pouvons, nous essayons de survivre, tant bien que mal, dans l'espoir qu'un jour, nous serons de nouveau maîtres de notre destin...