Renaissance du phénix
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 La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}

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Torben Badenov
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Torben Badenov


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Rapeltout
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeLun 29 Déc - 19:54

    Boire, boire et encore boire. Il fallait que je sorte de ce cercle. Je n'avais jamais pu en sortir depuis des semaines, voire des mois. Je ressortais d'ailleurs de sainte mangouste, analyses de routine qu'ils disaient, dans le cadre de mon boulot à risques. Je les emmerde avec leurs tests à la con. Foie atteint, poumons aussi. Je leur ai dit « combien ? », ils m'ont répondu qu'ils n'en savaient rien. Arrêt total d'alcool et d'autres spiritueux hautement recommandé si je ne voulais pas passer l'arme à gauche. Mais est ce que je le voulais? Ma vie était de toutes façons foutue. Foie atteint, et poumons aussi. Autant que j'arrête de suite de vivre si je ne pouvais plus courir, plus boire, plus me souler pour oublier. Krystel et moi étions devenus presque étrangers depuis l'enlèvement de notre enfant. Il n'y avait plus grand chose, le lien était ténu. Elle était toujours la femme de ma vie, mais il s'en était passé des choses... Plus de mots doux, plus de moments intimes, on ne faisait plus l'amour, on ne se voyait presque plus. Des étrangers presque.


    Mais je l'aimais toujours. Jamais je ne l'avais trompée. Ca aurait pu, même si je n'étais plus qu'une épave les filles s'intéressaient toujours au dur que j'étais. Jamais je n'en voudrais d'autre qu'elle, mais peut être qu'il lui en fallait un mieux. Elle était canon cette femme. Elle était la plus belle qu'il ne m'avait jamais été donné de voir. Elle était aussi celle qui était la plus riche. Elle avait tout pour elle. Je devais me battre pour elle. Mais avais je toujours la motivation? J'avais l'impression d'être un fantôme. Je n'avais plus l'impression de vivre comme avant. Je n'étais plus le même et depuis bien longtemps, sauf que je ne venais que de m'en rendre compte que bien trop tard. Les médecins avaient tord. Il était impossible pour un mort de mourir de nouveau.


    Reboutonnant ma veste, je n'écoutais plus le médecin. Troubles psychologiques, lésions cérébrales au niveau de la partie qui gérait la mémoire. Le coeur qui risquait de s'emballer, ces trucs que je devrais avaler tout le reste de ma vie. Il en était hors de question. Remarque, cela expliquait beaucoup de choses. Pourquoi je risquais ma vie pour une idéologie qui ne m'avait jamais attirée, juste par loyauté. Pourquoi je me jetais toujours comme un dément dans la mêlée. Et tout ça a cause de quoi? Un putain de caillou dans le crâne! Je savais même pas ce que c'était! On n'avait tout de même pas pu m'enfoncer un caillou dans le crâne, si? Certes, j'en avais eu des blessures dans ma vie, mais jamais dans ce sens là.


    Pour le toubib, c'était normal. Si on faisait la liste de tout ce que la guerre avait fait subir à mon corps et à mon esprit, ce n'était guère étonnant que je sois d'être dans cet état là. Je m'étais cassé presque toutes les côtes, m'était fait brisé presque chaque membre au moins une fois, puis réparé à la va-vite pour y retourner. Tout ces coups pris à la tête, tout ce sang perdu, tous ces chocs. Il était étonné que j'ai pu tenir aussi longtemps. Le toubib pensait que ce qu'il m'arrivait était dû à tous ces chocs, tant physiques que psychiques. Mais le médecin ne savait pas qui j'étais ou est ce qu'il le faisait exprès? Torben badenov, le grand timbré! Celui qui avait torturé des tas de gens, tué bien d'autres. Celui qui avait brisé Ginny Weasley, celui qui avait eu raison d'Ivan Straghov, celui qui avait tué tous ces moldus. Mais l'heure tournait. J'avais quelque chose à faire, la dernière chose qui en valait la peine. J'avais retrouvé Maxime. Mon fils. Le billet était dans ma poche. L'adresse, toutes les infos.


    Mais alors que je sortais de Sainte Mangouste, une foule de mangemorts et d'hommes du Ministère passaient en courant, lâchant des cris d'alarme. La situation était claire. L'attaque des « gentils » sur poudlard venait d'être lancée. D'autres cris m'apprirent que Potter et Rogue étaient de la partie. C'était donc la fin. Soit nous on gagne, soit on perd. S'ils attaquaient, c'est qu'ils avaient trouvé le moyen ou du moins pensaient l'avoir trouvé... Je parle du moyen de tuer Lord Voldemort. En temps que serviteur du lord et ancien de sa garde rapprochée, je ne pouvais que courir l'aider et exterminer la vermine. Mais qui était la vermine? Il y avait Krystel aussi... Elle allait être à la pointe de l'attaque. Elle allait mettre sa vie en jeu. Le choix fut vite fait dans mon esprit. Ou j'allais libérer mon fils, ou j'allais sauver ma future femme, mère de nos enfants. Sans un regard vers le groupe qui se préparait à aller aider Poudlard, je me retournais, transplanant pour le pays de Galles et la cachette dégarnie, geôle de mon héritier.



    ... 90 minutes plus tard ...



    Putain de plaie. Mal à la tête. Je courrais vers poudlard. Le portail gisait brisé. Au loin, le château était secoué par des explosions et le tonnerre grondait. Des sortilèges et des maléfices illuminaient le château, des centaines de personnes se battaient, et des tas d'autres mourraient. J'arrivais peut être trop tard, je n'en savais rien. Je savais juste que si Krystel était toujours vivante, elle serait près du Lord. Un résistant se mit sur ma route. Pas le temps de discuter, pas le temps de le tuer. La rencontre entre mon poing et son nez fut brève et douloureuse, mais elle eut le mérite de me laisser le champ libre. Les sorts fusaient partout, et je me mis à courir. Un sort que je n'identifiais pas me frappa sur l'épaule au moment où je passais l'entrée et arrivais dans la bâtiment. Du sang, mon sang, m'éclaboussa le visage. Mon coeur s'emballait, comme le toubib me l'avait dit. Le sang battait à mes oreilles et un point de côté m'amenaient les larmes aux yeux tant il état douloureux. Ce n'était pas réellement un point de côté, car je savais ce qu'il se trouvait à cet endroit là.


    Pas moyen de ralentir. Un autre résistant fut envoyé Ad Patrex, un sortilège d'explosion l'envoya voler par une fenêtre. Soudain, dans une mêlée, je vis le Lord luttant à la fois contre Rogue et Potter. Rogue se prit un sort à la place du jeune Potter, et mourut sur le coup. Le duel se prolongea et mon regard s'était déjà porté sur la femme qui gisait non loin. Ma Krystel. Elle était pâle... Déjà morte? Mon coeur se brisa et les larmes que je contenais coulèrent d'elles même le long de mes joues. Un autre sort me frappa et m'entailla le cuir chevelu, me faisant tomber au sol; Rien n'aurait pu m'empêcher d'atteindre mon but à ce moment là. Rampant du mieux que je le pouvais, j'arrivais sur le corps de ma fiancée. Son pouls était faible, mais il battait encore. Elle était si belle. Du sang bariolait ses traits et ses vêtements, mais sa volonté de vivre était forte. Un petit sort de soins permit de la faire respirer un poil mieux, mais je sentais ma force me quitter en retour. Ni une, ni deux, je me relevais, portant Krystel dans mes bras.


    Il fallait aider le maître. Ou sauver ma vie et celle de la femme que j'aime.


    Le choix fut vite fait. Fichue guerre, elle ne m'avait jamais réellement concerné. Je ne m'étais battu que pour respecter un serment, et avait vécut l'enfer pour un homme. Lord Voldemort m'avait volé ma jeunesse, et je la lui avais offerte, ainsi que ma vie. Mais en cette heure de péril, je savais ce qu'il fallait sauver. Lord Voldemort, s'il méritait de faire vivre ses idées sur la surface du monde, vaincrait, sinon, c'était qu'il n'était pas l'élu qu'il disait être. Sans un regret, je courrais donc aussi loin que je pouvais, et aussi rapidement.


    Quand je sortis de la pièce, j'entendis un terrible hurlement d'agonie. La bête venait d'être mise à mort. Il fallait que je sauve Krystel rapidement, car ce serait bientôt la chasse aux loyalistes du Seigneur des Ténèbres. Arrivé près du portail, un groupe de résistant aux fesses, je posais Krystel par terre m'agenouillais près d'elle. Je pleurais. Je ne pouvais pas partir, c'était elle, ou moi. Mais une femme arriva, s'enfuyant elle aussi. Je la reconnus comme étant une autre fidèle, une mangemorte, entraînée par Krystel.



    - Toi! Sauves Raybrandt et partez loin d'ici! J'ai un domaine en Estonie, tu le trouveras facilement. Personne n'ira vous chercher là bas.


    La fille acquiesca d'un signe de tête. Elle était comme moi, perdue, mais ses réflexes reprirent le dessus. Elle s'approcha. Les résistants arrivaient, mais je déposais un dernier baiser sur le front de Krystel, et un dernier « je t'aime » à l'oreille. Un signe de tête, et la nuisante avait disparut avec ma fiancée. Un rire dément s'échappa de mon esprit tandis que j'essuyais le sang qui se mettait à couler de ma bouche. Le médecin m'avait prévenu. Je me relevais, lentement, une main sur mon ventre. L'autre, crispée sur ma baguette.


    - Torben Badenov, rendez vous, tout est fini.


    Tout est fini... ces mots résonnèrent à l'infini dans mon esprit tandis que je levais ma baguette, défiant la mort


    - On ne peut pas tuer quelqu'un qui est déjà mort!


    Un dernier hurlement de rage, des cris, des sorts qui fusent, et tout est fini... Tout est fini... Tout est ..fini.


    ... Seize ans après...



    Krystel Raybrandt avait les traits tirés. Elle avait mal dormi. Encore une de ces insomnies. Son mari français sans doute, avait encore dû faire des siennes. L'ancienne mangemorte buvait un verre de vin rouge. Elle le buvait, tout doucement, en regardant ses enfants jouer ensembles. Aujourd'hui, c'était leur anniversaire. Ils avaient été gâtés encore une fois, mais la française savait qu'elle n'y couperait pas. Maxime en particulier, avait attendu cet instant toute sa vie. Lentement, après avoir ouvert son dernier cadeau, il vint lentement vers sa mère. Krystel, elle, pleurait déjà. Elle savait ce qu'il allait lui demander. Maxime lui séchait ses larmes et s'assit à côté d'elle. Dix sept ans, il venait d'atteindre l'âge d'homme, et Krystel devait honorer la promesse qu'elle lui avait faite il y a dix ans.


    - Maman, je suis un homme maintenant. Tu dois me le dire. Qui était mon père?
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Ambroise Lymphonia
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Rapeltout
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Déc - 15:24

Une fin. Une renaissance. Plus tard ...

    Sur les ombres du soir, sont peint l’horreur et les idées mortuaires. Elles sont l’obscurité de la haine, la caresse pour refaire revivre les morts, elles sont les rires de délectations, elles sont l’incarnation des défunts, les créatrices du sadisme. Les morts sont partout, leurs visages teintés d’effroi, et il n’y a qu’a les ramasser, comme les pommes dans un verger après une tempête.

    L’atmosphère correspondait en tout point. Il faisait sombre. Bien trop sombre. Quelques éclairs verts, éclairs de terreur se permettaient bien trop souvent d’alourdir ce paysage cauchemardesque. J’étais encore dans mon dortoir, observant deux formes vacillantes au loin. Mon cœur se serra brusquement, tandis que j’agrafais ma cape d’ivoire avec un long ruban bleu, et que je me retournais lentement vers la sortie. J’avais réussi à enfermer quelques Serdaigles dans leurs dortoirs, espérant les protéger un minimum. Il était temps maintenant. Je me mis à descendre les escaliers, prenant soin d’imprimer ces dernières images d’espoir, pour enfin attraper ma baguette et m’avancer dans le …carnage.

    Les sorts fusaient de toute part, faisant voltiger ma douce chevelure blonde et ma cape opaline : Seules couleurs contrastant avec celle des ténèbres. Mes yeux se remplirent de haine, tandis que j’agrippais un nuisant qui me barrait la route, lui tranchant la gorge avec sort particulièrement violent. Ce soir, il n’y aurait pas de pitié. Cette nuit, je me devais de me retrouver là bas … avec ces deux formes vacillantes … pour un combat pour la vie … pour un combat pour l’espoir, pour la fin de la tyrannie, pour le commencement vers la lumière...

    Je me faufilais entre les divers partisans, courant aussi vite que je pouvais, sautant parfois au dessus des cadavres. Ce que je venais de faire d’ailleurs, avant de glisser brutalement sur une marre de sang, et d’atterrir aux pieds d’un Mangemort. Mon regard se trouble, et la main de l’homme ténébreux s’accroche à mon cou, me soulevant sans ménagement vers son visage. Il porte un rictus digne des illusions de nos rêves les plus terribles, tandis que la pression de ses doigts se referment lentement, comme un étau dangereux.


    -« Que tu es belle ma jolie blondinette … Comment te nommes-tu ? Oh ne dis rien, et après tout je m’en fiche … Tu n’es qu’un cadavre comme les autres ! Au revoir ma jolie ! Ton temps est finis ! »

    Mes yeux s’écarquillent d’horreur, et une voix terrible résonne en moi soudainement. Une belle voix grave, magnifiquement cynique. Un son de mort, un chuchotement inaudible …

    « De quoi ? Tu veux de l’aide, accrochée à cette main, seule avec tes pleures ? Non, qui joue avec les morts ne connaîtra plus la paix. Je t’avais prévenu. Oh oui, je sais ce que tu ressens, tes yeux se voilent, les minutes s’écoulent lentement comme un long bâillement sans fin, tes mains diaphanes tremblent, sous la douloureuse et tranchante peur. Tes lèvres s’entrouvrent laissant échapper leurs derniers cris de torpeur, une simple et seule plainte muette, ta bave perlant à tes commissures. Que voient tes prunelles, alors que la fin approche en rampant, de ses sons qui te donnent la chair de poule? Elles ne voient que dévastation dans une salle plongée dans les ténèbres, où l’eau verdâtre de tes cauchemars stagnent, où ton propre sang séché tapisse les murs de ta prison. Tu trouves ce lieu surréaliste et cauchemardesque ? Ce n’est que, que le reflet de ta propre fin…
    Et puis ton dos s’arque boute, tes mains écorchées crissent sur le mur, tes ongles se retournent furieusement, tes larmes remplissent lentement tes yeux, et elles coulent enfin furieusement, sans s’arrêter une seule seconde. Les sillons qu’elles tracent scintillent dans la lumière lugubre de la pièce, celle de ton tombeau. Et tu hurles ! Les rires de ton bourreau emplissent ta bouche d’un goût amer, ton cœur bat à la chamade et semble ébranler ton corps, comme des coups de gong, propulsant le liquide chaud et carmin dans tes veines avec violence. Un tantinet dérangeant, n’est ce pas ? Et puis, tu te relèves, et tu retombes dans le gouffre de l’oubli, tes yeux perdent l’espoir qui t’habitais. Tu viens de perdre Ambroise. Tu n’es qu’un pion abattu. Tchaô. Game over. Ô … Mais que vois-je ?! Peut être n’es tu pas si seule que cela en fin de compte… »


    Quelqu’un vient de me pousser, et je me retrouve une seconde fois par terre, bénissant ma bonne étoile pour me laisser en vie ! Je n’ai pas le droit de mourir, du moins pas pour l’instant … je devais accomplir … une dernière chose avant ! Je me levais promptement tenant fermement ma baguette, tout en observant le résistant qui venait de me sauver. Un sourire éblouissant illumina mon visage de poupon pour le remercier tandis que je l’aidais à vaincre … cette vermine ! Puis, je repartis au pas de course, prenant soin de jeter quelques sorts à chacun de mes passages. Je me trouvais maintenant en face de la grande porte que je franchis sans la moindre hésitation.

    Je m’arrêtais enfin et mes prunelles pétillantes se voilèrent sous l’horreur. Le parc était dévasté et le champ de bataille était digne dés plus grands scénarios de cinéma. Une boucherie. Comme à l’intérieur du château. Je me pris un instant à rêver du calme, et me laissa distraire par les jeux d’ombres et de lumière sur les arbres majestueux de l’endroit. J’étais comme hypnotisée par ces images de malheur, avant de me remettre une nouvelle fois en route, vers les deux formes indistinctes de John et de Leslie.

    Enfin. Il n’y avait plus qu’a courir maintenant ! Courir aussi vite que je le pouvais. Ne plus flancher, juste avancer inexorablement, en contournant les obstacles. Une dernière brise agréable vint soulever des mèches folles autour de mon visage et ébouriffer ma longue cape, qui formait comme une longue traîne derrière moi. Il ne restait plus qu’un pas pour être avec eux. Juste l’espace d’un effleurement. Cela semblait si facile ! Mon regard rayonnait d’une intensité fabuleuse lorsque enfin je pus poser mes prunelles sur le visage fermé de John.

    Soudainement une ombre noir sur le côté me fit tourner la tête. La baguette de l’homme mystère ne venait-elle pas de se pointer sur les personnes les plus chères à mon cœur ? Mon adrénaline monta férocement, tandis que je déviais de trajectoire bondissant comme une tigresse sur l’homme. Je ne mesurais pas ma force, pas cette fois-ci. Je murmurais aussi doucement qu’une chanson mélancolique.


    -« Rictusempra … Rictusempra…»

    Le sort lui trancha la tête, formant une rigole carmin entre ces deux yeux. Le liquide vitale gicla sur ma gracieuse personne, tandis que je me relevais les muscles bandés. Je me retournais vers John et poussa un soupir rassurée. Secouées par des frissons de soulagement, les larmes dévalèrent mon visage comme un torrent de diamants liquides. Même alors que je pleurais, j’étais belle et ma personne tout entière respirait la grâce.

    -« J’ai enfin réussi à vous retrouver ! Je voulais vous … Enfin, John … il faut que, enfin tu sais … Je t’a…»

    … … … Plus de son… Plus d’image… Juste une douleur lancinante dans mon dos. Pas d’hurlement, juste des larmes qui coulent à flot. Une cascade d’eau salée et la Fin. Je tombe. Pas dans ce monde. Ailleurs. Là où la vie n’a plus sa pace. Je baigne dans mon sang, ma chevelure aussi flamboyante que le soleil se teint d’une couleur sombre. Et mon dernier soupir où est-il ? Il est là. La voix grave sonne une dernière fois, comme un glas sinistre.


    « Eh bien, tout compte fait, tu meurs ! Que c’est hilarant ma chérie ! Allez … lâche prise, tout est finis pour toi ! »


    Tout s’écroule sous moi. La poupée de porcelaine vient de se briser. C’est la fin … la fin … la fin. Je suis tellement désolée. Je t’aime John… Je vous aimes…


Dernière édition par Ambroise Lymphonia le Ven 2 Jan - 18:30, édité 1 fois
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Leslie Brunet
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Déc - 17:58






    Tout recommence inlassablement. C’était comme si, quoi que nous fassions, jamais on ne pourrait y faire quelque chose. Est donc cela notre destin ? Sommes nous touchés par une quelconque malédiction ? Sommes nous condamner à perdre tout ce qui nous est chère ? Sommes nous que de simples pantins dans les mains d’une puissance supérieure qui s’amuserait à nous voir torturer et souffrir ? Qu’avions nous fait pour cela ? Est-ce le prix à payer pour posséder des pouvoirs ? Est-ce le prix à payer d’être née humaine ? Tant de questions, tant d’interrogations qui font si mal. La roue continuait de tourner, nous refaisant vivre de terribles évènements. Personne ne pouvait la stopper dans la folle course. Personne. Nombreux étaient ceux qui avaient essayé. Tous avaient finis par tomber les uns après les autres. On avait beau se battre sans relâche, y croire le plus fort possible, rien n’y faisait. Alors tel était notre destin, tel était notre destin de côtoyer encore et encore la mort, jusqu’à ce que cette dernière vienne nous chercher…

    J’en avais assez, je ne voulais plus… Mais je n’avais pas la puissance adéquate pour arrêter le temps, pour le figer dans un instant ou tous seraient heureux. Je ne pouvais pas non plus créer un monde où nous pourrions tous vivrent heureux, dans lequel nous pourrions aspirés à nos rêves, sans avoir peur du lendemain. Non, je ne serais jamais en mesure de le faire, et pourtant dieu seul savait que c’était vraiment ce que je voulais plus que tout. Foutu rêve. Foutu existence. Foutu vie. Foutu monde d’ailleurs. J’en avais assez de payer si cher notre égoïsme, et nos ambitions de pouvoirs. J’en avais assez que chacun ne fasse que ce qu’il lui plait, sans penser aux conséquences, sans penser aux autres.

    Si seulement tous y mettaient un peu de leur siens. Si seulement on arrêtait de ne regarde que notre nombril. Si seulement on arrêtait de détruire tous ce qui nous entouraient. Si seulement nous étions tous un peu plus ‘humain’ et moins insouciant… Rêver de cela, c’est rêver de décrocher la lune oui. Et pourtant, je voulais me rattacher à cette idée, à cet espoir d’un monde meilleur. A quoi bon vivre si nous ne croyons plus à nos rêves, si nous n’avions plus foi en quoi que ce soit. Alors oui, encore une fois, j’allais me lancer dans un combat. Alors oui, encore une fois, j’allais souffrir non pas pour moi, mais pour vous, mais pour les générations à venir. Nous n’avions pas su nous contenter de ce que nous avions eu, mais avec un peu de chance, cela servira d’exemple à tous ceux qui arriveront après nous. Oui, ce combat n’était pas vain, je voulais y croire plus que tout. Je ne pouvais pas flancher maintenant, pas encore en tout cas. Ce n’est pas ce qu’Il aurait voulu de toute façon… Il avait laissé sa vie pour m’offrir un monde meilleur. A moi d’en faire de même…


    ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~



    - Leslie Attention derrière toi !




    De sourds bruits envahissaient tout le parc de cette école qui m’était si chère. La neige recouvrait peu à peu toutes ses personnes tombées au combat, tombées pour une cause qu’ils croyaient. On les piétinait, on s’en servait comme bouclier, comme s’ils n’étaient rien, comme s’ils n’avaient jamais existé. Personne ne faisait attention à eux, personne ne pensait à eux. Ils étaient justes de la chaire à canon dans un conflit qui ne semblait jamais se finir. Oui, voilà ce qu’ils représentaient. Ni plus ni moins que de vulgaires objets. Foutu pays, foutu mentalité, foutu guerre. N’y avait-il aucune issue ?

    Des sortilèges fusaient dans tous les sens, des gens rendaient leur dernier souffle, d’autre se lancer avec une joie macabre dans le combat, excité par tout ce sang. Et il y avait moi. Moi, Leslie Brunet, 18ans, Gryffondor ou poufsouffle, préfète en chef, fille de deux aurors qui avaient du fuir l’Angleterre pour ne pas être tué. Moi, Leslie Brunet, chef des godrics à Poudlard, protagoniste de ce combat malgré moi. Voilà ce que j’étais, mais qui s’en souviendrait quand mon tour serait venu dans cette nuit froide ? Qui me reconnaîtrait, et qui penserait à moi quand je ne serais plus là ? Je n’avais plus aucune attache dans ce pays qui m’était hostile. Alors moi, Leslie Brunet, 18ans, Fille de deux aurors, j’allais fais ce pour quoi j’étais revenue à Poudlard… J’allais essayer de mettre fin à ce bain de sang, et j’allais me battre pour la cause qui me tenait à cœur. Oui, moi, Leslie Brunet, 18ans, jeune femme marquée à jamais par la vie, n’avait pas d’autre choix que de continuer…

    Une lueur verte sortie de ma baguette, tandis que des larmes ruisselaient sur mes joues. Voilà ce que j’étais devenue. Une meurtrière. Je ne valais pas mieux que les mangemorts qui succombaient sous mon arme. Je m’étais toujours cru au dessus d’eux, au dessus de toute cette violence. Je m’étais trompée. C’était soit moi ou eux oui, et certains diront que je n’avais pas le choix, à tord. On a toujours le choix, et ce sont nos actions qui dictent notre vie, notre existence. De nouveau des formules de sortilèges terribles sortirent de ma bouche, continuant de faire des ravages dans le clan ennemi. J’aurais tout donné pour ne pas me trouver dans cet endroit, pour que tout cela ne soit qu’un cauchemar, que j’allais me réveiller, et m’apercevoir que mon monde est meilleure… Baissant un instant ma garde, je ne vis pas le maléfice qui se dirigeait vers moi. Peut-être bien que je l’avais fais exprès allez savoir. Peut-être que j’avais envie que tout finisse une bonne fois pour toute. La mort venait peut-être me soulager de cette existence…


    - Leslie Attention derrière toi !




    Cette voix… Je ne la connaissais pas, et pourtant, elle venait quand même de m’appeler par mon prénom. Un bouclier se leva alors autour de moi, me protégeant d’un sort funeste. Mes yeux cherchèrent en vain qui m’avait aidé. Impossible de savoir de qui il s’agissait. Impossible de connaître l’identité de cette inconnue. Cette voix si douce, si dure en même temps. Sans savoir pourquoi, elle me redonna du baume au cœur. Non, je ne battais pas pour rien. Non je ne me battais pas pour une cause qui nous mènerait tous à notre perte. Non je me battais pour offrir une meilleure vie aux autres. Oui, c’était cela que j’avais toujours voulu. Je n’avais pas le droit de baisser les bras. Des gens comptaient sur moi. Une goûte d’eau engrange un océan après tout. Je n’étais qu’une enfant après tout, mais j’étais en mesure d’aider, alors je continuerais à me battre, je continuerais encore et encore. Chassant toute ma peine, je repartis à l’asseau, le coeur plus léger…



    ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~




    - Ambroise non ! Tiens bon ma belle… Je t’en supplies, bats toi… Ne nous laisse pas… Ambroise !


    Une nouvelle fois la mort venait de frapper. M’écroulant à terre, j’essayais en vain de sauver le petit corps frêle qui venait de tomber à mes pieds. Mes larmes coulèrent à flot de mes prunelles bleues, alors que je secouais la blondinette, espérant qu’elle avait se relever. Mais c’était finit, oui finit… Je venais juste de retrouver un visage qui m’était familier, celui de John. Le rejoignant tant bien que mal, j’avais finis par ‘m’allier’ à lui, et à combattre à ses côtés. Je ne savais pas ce qu’il faisait ici, mais une chose était sur, il n’était pas là pour rien. J’avais finis par le connaître après tout. Le savoir ici, malgré toute l’hostilité qui y régnait, me redonnait des forces. Pourquoi ? Allez savoir. Et c’est la que je compris pourquoi il n’était pas encore parti loin d’ici… Alors que nous étions tous deux en train de nous défendre, elle arriva vers nous, Ambroise avait quitté la sécurité que lui offrait son dortoir, pour pouvoir rejoindre le jeune homme.

    Mais elle venait de tomber, juste là. Sotte comme je suis, j’avais baissé mon arme en la voyant, contente de voir qu’elle allait bien. Trop occupée à cette pensée, à écouter ce qu’elle voulait nous dire, je n’avais pas vu le mangemort qui l’avait suivis. Je n’avais pas vu l’homme levait sa baguette sur elle, et mettre fin à sa vie. C’était fini. J’avais beau essayer de la réveiller, son âme s’en était allée pour toujours. Mon cœur souffrait, comme si une lame venait de s’y loger. Pourquoi elle ? Une haine prit bien vite la place sur tout mes sentiments, une haine que je devais faire sortir. Lâchant son corps délicatement, je me relevais, serrant ma baguette entre mes mains. Mes yeux semblaient vitreux, et mon esprit n’avait plus qu’un seul ordre. Son assaillant était à terre, blessé par un résistant, qui avait sûrement vu la scène. Tournant légèrement la tête vers John, sans pour autant le regarder, je lui dis tout simplement :


    - Ne la laisse pas ici… Ne laisse personne souiller son corps… Va-t-en avec elle, et sauve ta vie… C’est ce qu’elle aurait voulu…


    Sans un mot de plus, sans voir ce qu’il allait faire, je me mis à courir vers le combat qui s’était déplacé plus loin. Il fallait que j’évacue toute ce qui me tailladait le cœur. Je ne voulais qu’une chose, que tout finisse une bonne fois pour toute….




    ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~




    Je ne sais pas combien de temps il s’est écoulé entre le moment ou Ambroise nous a quitté, et la fin du combat. Tout ce que je sais, c’est que la mort ne vint pas me prendre. J’avais survécu à ce qui allait pour toujours traumatiser le monde magique d’Angleterre. Lord Voldemort était tombé face à Harry Potter et à Severus Rogue. Il avait emporté avec lui son ancien fidèle. Nous ne savons pas qui a finit par faire tomber le survivant, même si de nombreux témoignage laisserait penser qu’il s’agirait de Krystel Raybrandt. Nous ne pouvons pas compter tous les morts que cette nuit a fait. Bien des personnes ont vu leur vie s’achevait brutalement. Ginny Weasley… Harry Potter… Severus Rogue… Ron Weasley… Torben Badenov… Nymphadora Tonks… Edward Faust… Waldrade Théophane… Pansy Parkinson… Et bien d’autre encore. Une plaque commémorative, sur laquelle est gravée le nom de tous, partisans du mal ou du bien confondu….

    Après ce tragique évènement, c’est comme si tout c’était remis en place naturellement. Un nouveau régime dirigeait non pas par un seul ministre, mais par deux. Une réorganisation totale de notre système, mais surtout la fermeture définitive de l’école de sorcellerie de Poudlard. Trop de malheur y sont arrivés, et trop de souvenirs hantent à présent ce domaine. Une nouvelle enceinte est en construction en Irlande, mais en attendant, les jeunes sorciers sont envoyés à Beaubatons, ou à Dumstrang. N’allez pas croire que tout est bien qui finit bien. Non loin de là. Il faudra encore beaucoup de temps aux générations futurs pour panser toutes les plaies que le monde à connu… Des recherches ont été mené pour retrouver Bellatrix Lestrange, et Krystel Raybrandt, mais en vain. On a finit par les déclarer mortes au combats, même si jamais leurs corps ne furent refusé. Tout ce que l’on sait, c’est que le corps de Torben Badenov a disparut mystérieusement également…

    Nous sommes à présent en 202…


    - Maman ! Maman ! Vient voir ce que papa vient de me ramener. Il est trop chou ! Maman vite, vient voir !

    - Ma chérie, laisse ta maman finir d’achever son livre. Tu lui montrera tout à l'heure. Elle n’en pas plus pour très longtemps normalemen

    - Dis papa… Tu crois qu’un jour, moi aussi j’aurais des pouvoirs comme toi et maman ?


    Nous sommes à présent en 2022, et cela près de 21 ans que la chute du plus grand mage noir a eut lieux. Pour ma part, je finis par rejoindre mes parents en Australie, et il me fallut pas mal d’année pour me rétablir autant physiquement que psychologiquement de ce combat. Je revis 5 ans plus tard lors d’un de mes voyages en Angleterre John Pirkins. Nous reprîmes contact, et nous finîmes par nous marier. La vie ne nous a pas épargné, loin de là, et je pense que c’est cela qui nous a rapproché. Nous avions tous deux vécus cette tragédie, et nous nous comprenions mieux que quiconque. Il y a 5ans jours pour jours que je mis une magnifique petite fille au monde. Blonde comme ma mère, avec les yeux de son père, elle est devenue notre rayon de soleil, notre lueur d’espoir. Son prénom ? Ambroise…



Leslie Pirkins,
En mémoire d'Ambroise Lymphonia
et de tous ceux qui nous ont été enlevés
Pour que personne n'oublie leurs sacrifices
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Lilith Shupsuey
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Rapeltout
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Déc - 21:43

    Lilith avait quitté les nuisants, s'était cahcé pour fuir la trahison et les répercussions que cela pouvaient entraînées. Elle avait juré de se repentir, de prendre son destin en main, et sa rencontre avec un résistant avait été du pain béni.

    Sans aucune hésitation la jeune femme l'avait suivi jusqu'au Qg, et c'était entraînée jours et nuits durant une bonen semaine. sans relâche, oubliant toute fatigue, la jeune femme si joyeuse, candide avait laissé place à une femme déterminée et presque courageuse. Une nouvelle fois ce soir là, Lilith s'entraînait au combat, dans la salle prévut à cette effet. Elle était en sueur, mais toujours en forme même après de longues heures a frapper sur un sac de sable. Quelques mèches se collaient à son visage, elle venait de s'accorder une pause, lorsqu'un résistant entra. Il avait l'air d'avoir couru, et il déclara qu'il fallait que tous se rendre dans le hall du quartier général. L'ultime combat allait sonner.

    La métomorphomage s'était précipité dans son dortoir enfilant une tenue adéquate au combat, prit sa baguette et se rendit au point de rendez vous. Tous partirent ensemble, face à leur destin, et celui-ci était soit la vie, soit la mort. Mais la perspective lugubre n'effrayait pas tellement la jeune femme, bien au contraire.

    Ils devaient passer par la forêt, le plan était bien ficelé. Le chemin jusqu'au château à travers la forêt se fit dans le calme, tout le monde se concentrait sur le combat à venir. Lilith elle respirait lentement, oubliant ses nausés. Même si on se persuade que l'on est courageux parfois la peur revient au galop, mais ce n'était pas pour autant qu'elle allait reculer Oh que non.

    Dernières paroles de Severus Rogue, et tout se passa comme dans un rêve ou plutôt un cauchemard. La porte du château explosa, et le combat commença. La baguette bien en main, elle était prête. Les sorts fusaient à tout bout de champs, visant bien ses cibles. Les ennemis n'étaient pas en restes, et les sorts affluaient sur la jeune femme, plusieurs entailles sur le visage, laissant échapper des filets de sang. Lilith avança malgré tout, la douleur était présente, mais qu'importe, elle avançait. Marche après marche elle lançait des sorts, en recevait. MAis il ne fallait pas faiblir, jusqu'au moment où ...

    Lilith fut projetée en arrière, faisant un bond de plusieurs mètres, l'attérissage fut douloureux, un des ses bras craqua. Un cri de douleur, un bruit assourdissant. Elle revenait à la réalité, le combat faisait rage, des corps gisaient ça et là dans le parc, des groupes se livraient de duels sans merci à la baguette. Sa baguette, où était-elle d'ailleurs ?

    Elle venait de la perdre, ou plutôt. Lilith se retourna et vit avec effroi que le bout de bois s'était brisé. Il en était fini de sa fidèle. Alors que ce constat fut fait, une personne vint caché la lumière de la lune. Un mangemort qui pensait que la jeune femme était à terre et donc cible parfaite pour un sort de lâche. Mais il n'était rien. Un coup de pied agile fit vacillé le serviteur des ténèbres. Même sans baguette, il faut combattre. Se relevant tant bien que mal, et malgré un bras visiblement cassé, Lilith se précipita dans la foule, avec un cri pour lui redonner courage.


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  • Un tintement sonore, il y avait du monde en ce jour dans la boutique. Une femme au visage joviale et au cheveux à la couleur particulièrement bizarre, accueillait chaque client avec un sourire.

    Il y a plus de deux ans que la bataille avait prit fin. Lilith ne savait comment elle en avait réchappé. Les forces du destin peut être ... Elle n'avait pas demandé son reste, elle était en vie, et voilà tout ce qui comptait. Mais beaucoup était mort pour leurs idées, et ce dans chaque camps. Tous à présent tentaient d'oublier les années qui s'étaient écoulées, et cette bataille des plus sanglante. Et tous tentaient de reprendre une vie des plus normale.

    Lilith, elle était partie de son Angleterre natale, elle avait décidé de réaliser deux de ses plus grands rêves. C'est pour cela qu'elle avait ouvert sa propre boutique de bonbons en Argentine. Ici, il n'était plus question de mage noir, ni de Renaissance, mais plutôt de bonbons. Bienvenue au Pink Delirium.
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Evans Blackmoon
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMer 31 Déc - 19:24


    Parler avec Lucius, en apprendre encor eplus que l'on n'aurait pu le croire... Lui avait fait un drôle de sentiment au fond de son coeur glacé. Mais, au moment crucial de la bataille, que comptait réellement? Le sang, les morts, les cris des agonisants...
    Tout ce monde de résistant qu'Evans avait connu, chéri, s'écroulait à ses pieds aujourd'hui.

    L'ordre du Phénix tombait certe, mais à chaque résistant tué, un mangemort y passait. Se relever sans cesse, ne jamais s'arrêter. Evans avait réussi à s'en sortir jusque la, elle continuerait. Pour sa famille, pour Ren, pour touts ceux qui avaient encore le droit de vivre, pour touts ceux qui pourraient respirer l'air de cette planète demain. Demain... Le verrait -elle un jour ce mot? Survivrait-elle à cete bataille? Elle l'ignorait. UN trait de lumière verte la frôla, tandis qu'u second la touchait, entaillant sa poitrine. Haletante, Evans utilisa le charme du bouclier, et parvint à éviter un troisième sortilège. Plus personne ne lui était reconaissable dans la mêlée. Rien... Le noir total.

    Un trait doré la toucha au dos et la fit basculer en avant, se retoruvant ainsi face au cadavre d'une fillette aux yeux grands ouverts. Un instant, son esprit la quitta, un battment de coeur à peine...

    17 ans plus tôt


    -Maman, pourquoi me dire adieu?
    -Parce qu'il est possible qu'un jour, on ne se revoir pas.
    -Ou seras tu alors?
    -Tu préfère une réponse rationelle ou iréelle?
    -Iréelle.
    -Je serais toujours à tes côtés ma chérie. Quoi qu'il arrive, je serais la...

    AUjourd'hui...
    Le sang, la perte, les morts... Evans se relève et reprend la bataille, s'enfuit loin des fantômes de son passé. Aujourd'hui elle à compris ou est sa mère, de façon tellement réele. A ravers les yeux d'un cadavre, elle à pu voir tout ce qui lui avait été caché jusqu'alors.. Tant degns tombent à ses côtés, comme un film au ralenti!

    Crachant un peu de sang, secouant sa crinière brune, la résistante continue son combat. Evitant les traits de lumière dans sa direction, elle se jette sur un mangemort et roule à terre avec lui. Sa capuche lui à échappé, laissant voir son visage. Les baguettes des deux adversaires ayant roulés plus loin, Evans serre ses mains autour de la gorge de l'ennemi, serre du mieux qu'elle peut, tandis qu'il fait de même. POin eplus forte, mais sa volonté n'est plus rien. Evans veut vivre, survivre, quitte à rester seule. La brune sent sa vision se troubler dû au manque d'air, mais tient bon. Petit à petit la pression se désserre, et elle peut de nouveau respirer.

    Roulant sur le côté, elle récupère sa baguette, et aspire une goulée d'air comme un nouveu né. La bataille est terminé, aussi bien face à ele, qu'en elle.

    2 ans plus tard

    -Ren, reviens ici!

    Un sourire aux lèvres, Evans à changé. De la résistante rebelle et seule, il ne reste plus tellement de choses.. Aujourd'hui, ses cheveux bruns ondulents dans osn dos, et ses yeux bleus pétillent de vie, et non plus de souvenirs. Se mettant à genoux, elle acceuille dans ses bras son fils. Il à les cheveux blonds de son nouveau mari, et la couleur de nuit de ses yeux à elle.

    Rieur, il tend à sa mère une fleur de lotus qu'il à attrapé dans l'étang du manoir Malfoy.

    -C'est l'heure du repas. Va voir ton père avant qu'il nete cherche partout.

    Acquiesçant, Ren court jusqu'a laporte du manoir, et pénètre. Se relevant, Evans époussète sa longue robe brodée d'argent, et va à sa rencontre. Lucius l'attend, un sourire amusé aux lèvres. Elle même ne s'était jamais oh grand jamais imaginer terminer mère de famille, et encore moins, heureuse dans ce rôle! Rejetant sa chevelure en arrière, elle se penche versLucius et dépose un baiser langoureux sur ses lèvres.

    Elle est heureuse, enfin...


Ce n'est qu'un au revoir... :'(
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Azraël Van Reinhard
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeJeu 15 Jan - 2:00



Le sang, encore du sang, rien que du sang. Il ne savait exactement combien de temsp cela avait durer. Quelques minutes, secondes heures, jours? Il ne savait exactement. En fait, peut lui importait, c’était terminé. Oh, il ne s’en était pas sortit sans dommage, il l’avait bien dit, il n’était qu’un simple élève. Alors qu’aurait-il pu réellement faire? Et puis, qu’était-ce donc ses souffrances faces à certaines? Sûrement pas grand-chose… Mais finalement, il avait été déchu. Le plus grand mage noir de tout les temps était tombé, Lord Voldemort était mort. Comment? En fait il s’en fichait, tout ce qui comptait, c’était que lui et Shiro était en vie. Quoiqu’on pouvait se poser des questions sur sa survie personnelle. En effet, il avait été ouvert au niveau du ventre, un de ses bras était cassé, ainsi que quelques unes de ses côtes et sans doute que ses jambes n’étaient pas dans un excellent état. Bref, il était plus mort que vif. Mais il se souvient avoir été prit en charge rapidement, avec Shiro qui était malgré tout aussi un peu blessé, mais moins que lui. C’est qu’il s’était évertué à le protéger du mieux qu’il pouvait, faisant barrière avec son corps le plus souvent. Mais ils étaient en vie. Et plus important, ils avaient commencés à ouvrir la porte de leur paradis.

Il lui avait fallu quelques mois malgré tout pour pouvoir remarcher tranquille et sortir enfin de l’hôpital. Mais une fois dehors, il eut un énorme problème. Qu’allait-il faire de sa vie?!? Ben oui, à part tuer et jeter des sorts, il ne savait pas faire grand chose… surtout qu’il n’avait toujours pas fini ses études sorcières… alors très honnêtement, que pouvait faire un gamin de 15 ans seule dans la rue? Sachant qu’il n’avait aucun endroit où rentrer, en effet, l’organisation qui l’avait recueillit avait été dissoute pour trafique d’enfants et la plupart de ses commanditaire étaient enfermés à Azkaban. Alors concrètement, que pouvait-il faire? C’est alors qu’il vit un clochard marcher dans la rue d’en face. Une idée folle germa dans son esprit. Après tout, pourquoi pas, au moins ça l’occuperait en attendant de trouver quoi faire. Quant à l’argent dont il aura besoin, il était assez doué de ses mains, il trouverait bien un petit boulot à faire. C’est alors que le jeune homme se mit en quête de l’unique personne qui était chère à son cœur. Son père…


~°~°~°~°~°~°~°~°~°~


Le blanc régnait en maître en cet froide journée de décembre. Dans la rue, un jeune homme d’environ une vingtaine d’année marchait dans un quartier résidentiel des plus calme. Il resserra son écharpe autour de son cou et son blouson autour de ses épaules. Essayant malgré tout de ne pas glisser, il tentait tant bien que mal d’avancer à un rythme soutenu. Quelques flocons de neige venaient tomber sur son nez engourdi par le froid. Arriver à hauteur d’une petite maison, il ralentit et s’engouffra dans la petite allée. Il essuya ses chaussures sur le petit paillasson à l’entrée, puis ouvrit la porte et la referma rapidement derrière lui. Une fois rentrée, il passa ses mains dans ses cheveux pour enlever la neige qui avait élu domicile ici. En même temps qu’il enlevait son blouson, un petit miaulement vint l’accueillir. Un sourire tendre étira ses lèvres tandis qu’il accrochait son blouson au portemanteau. Enfin, il s’accroupit et pris dans ses bras le chat blanc et noir qui se frottaient à ses jambes.

"Bonsoir Shiro."

Tout en câlinant l’animal, le jeune homme se dirigea vers le salon où se trouvait un homme assez âgé d’environ une cinquantaine d’année. Ses cheveux commençait à se parsemés de mèches blanches et ses rides commençaient également à se marquer de plus en plus. Cet homme était tranquillement assit sur le canapé, une verre de jus de fruits à la main, la télécommande de ma télévision dans l’autre. Sans se départir de son sourire, le plus jeune de la maison entra dans le salon.

"Bonsoir papa."

Le dit «papa» se retourna et sourit à son fils. Puis il se leva et avança pour serre son enfant dans ses bras. Même s’il n’était de sa propre chair, il était son fils malgré tout.

"Bonsoir Azraël."

Aza eu un sourire un peu moqueur lorsque son père déposa un baiser sur son front. Mais il ne dit rien. Car malgré tout, il aimait ces marques de tendresses. C’est ce qui l’avait aidé à véritablement se reconstruire lorsqu’il l’avait retrouvé quelques 3 années plus tôt. Ça, ainsi que le fait que l’école de sorcellerie ait rouverte ses portes, et qu’il put enfin terminer ses études. A la fin de quoi, il décidé de travailler finalement dans le domaine des potions. Plus exactement, il est chercheur et emploi son temps à tenter d’améliorer des potions déjà existantes, où à en trouver d’autre. Et non ce n’était pas en hommage à un homme qui avait donné beaucoup pour qu’il puisse ouvrir les portes de son paradis. Même si le dit homme n’était sûrement pas au courant. Mais le monde lui devait tellement… qu’il avait finit par vouloir lui ressembler, sans le côté noir et sarcastique bien entendu!!

"Joshua n’est pas encore là?

-Non, il a appelé tout à l’heure pour dire qu’il serait un peu en retard."


Azraël fit une légèrement moue à l’annonce de cette nouvelle. Joshua, c’était son compagnon, un auror. Oui c’était un homme, oui il était gay. Mais il l’assumait parfaitement avec son petit ami. Sa préférence c’était révélé un jour de ses 17 ans. Il était tombé sous le charme d’un charmant jeune homme de la faculté où il étudiait pour essayer de venir un jour un Maître des Potions. Non, rassurez-vous, il n’avait strictement aucune envie d’enseigner à Poudlard. Loin de lui l’idée de retourner un jour là-bas, il y avait eu trop de chamboulement dans sa vie là-bas. Il préférait nettement le calme relatif du labo où il travaillait.

Quelques instant plus tard, un autre jeune homme rentra dans la maison, mais par la cheminée ce coup-ci!! Il fut accueillit chaleureusement par le père et se dirigea vers la cuisine pour dire "Bonsoir" à son petit ami et lui faire oublier partiellement ce léger retard. Parce que quant à le faire oublier totalement, ça se passerait à l’abri des regards indiscrets, dans leur chambre personnelle et avec un charme de silence de préférence afin de ne pas alerter tout le voisinage.

Pendant qu’Aza finissait de faire la cuisine, domaine où il n’était pas mauvais d’ailleurs!! Parait que la cuisine c’est un peu comme les potions… bref, pendant qu’il finissait de tout faire cuir, Joshua et le père d’Azraël, qui s’appelait Sigmund au passage, mettaient la table. Après quelques minutes seulement, le dîner commença. Un dîner familial, convivial où chacun parlait de sa journée, de ce qu’il avait fait, vu où encore ce à quoi il avait penser.

Finalement, à la fin du dîner, juste après qu’Aza ait donné à manger à son chat, Joshua les convia tous dans le salon. Là, il fit asseoir Aza et son père sur le canapé, avant de s’installer sur l’accoudoir du fauteuil. Il prit une mine des plus sérieuses. L’ancien Slytherin se tendit, quand Josh était comme ça, bien souvent ça annonçait quelque chose de très important.


"Voilà, ce soir j’ai quelque chose à vous annoncer…"

Il fit une légère pause pour semble-il prendre du courage et réfléchir un peu. Sauf que ce court laps de temps fit monter d’un cran l’angoisse du scientifique.

"J’ai rencontré une vieille amie il y a deux jours. On a parlé un peu autour d’un café et je lui aie avoué quelque chose de très important. Etant donné son domaine de travaille, je lui ai demandé un peu d’aide… Sauf que ça ne fera pas sans contre partie…"

Joshua prit un air légèrement ennuyé.

"Josh ne me dit pas que…

-Tu vas être papa.

-QUOI?"


Azraël regardait Joshua avec des yeux de merlans frit. Ce dernier semblait légèrement amusé au vu de ses yeux. Oh oui, il s’amusait bien de la situation. Avant que quelques larmes ne commencent à pointer aux coins des yeux d’Azraël et qu’il ne baisse la tête. Josh perdit son sourire, avait-il fait quelque chose de mal?

"Araël qu… ?"

Il n’eut même pas le temps de finir sa phrase que le jeune homme s’était relever et jeté dans ses bras pour l’embrasser, un baiser au goût de larmes certes, mais des larmes de joie. Enfin la dernière chose qui lui tenait le plus à cœur allait être réalisé, après prés de 3 mois de calvaire, il allait enfin avoir un enfant. Oh bien sûr ce ne serait pas de leur chair à aucun d’eux était donné qu’ils allaient adopté, mais quel calvaire cela avait été pour prétendre à l’adoption. Car il était des plus difficile pour un couple homosexuel de prétrend à l’adoption. Et enfin son rêve se réaliser.

"Je t’aime"

Ce n’était qu’un chucottement, mais cela suffit grandement à Joshua pour retrouver un immense sourire et passer sa main en de réconfortante caresse dans le dos de son amant. Puis enfin, le futur grand-père se leva et vint les serrer dans ses bras.

"Je suis heureux pour vous mes enfants."

Puis il déposa un baiser sur le front de chacun d ‘eux avant de se reculer et de lâcher d’une voie émue.

"Alors, il arrive quand ce petit bonhomme?

-On pourra aller le chercher ce week end. Enfin, si tout le monde est disponible.

-Parce que tu crois que je ne serais pas disponible pour aller chercher mon fils?"


La soirée se termina gaiement en imaginant divers projet avec bébé, ce qu’il allait lui offrir pour son arrivée, pour le prénom, c’était déjà choisit depuis le début, ils l’avaient appelé Mickaël. Et le soir dans la chambre la plus grande, sous charme de silence, les deux futurs papa fêtèrent cela comme il se doit.

~°~°~°~°~°~°~°~°~°~


Quelques jours plus tard, tranquillement allongé sur le canapé, Azraël était aux anges. A côté de lui, son compagnon, sur ses jambes, Shiro ronronnant de plus belle, et sur son ventre, son fils… Non, en cet instant rien n’aurait put entacher son bonheur, il était le plus heureux des hommes. Enfin il nageait en plein paradis après pas loin de 17 ans de galère et de ténèbres. Il avait finalement réussit à ouvrir complètement les portes de son paradis. Il faudrait qu’il pense un jour à aller voir cet homme, son modèle aujourd’hui, et le remercier pour tout ce qu’il avait fait pour lui et Shiro!! Mais ceci est une autre histoire…

Because you live, I live


[Et moi je dit à bientôt pour de nouvelles aventures!! bya]
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Tor Barda
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMar 27 Jan - 10:16

Elle a un prénom italien, Maria. Une jeune femme charmeuse et charmante. Ses origines italiennes lui viennent de sa mère, une résistante dans l'âme, mais toujours restée loin des conflits. Une résistance passive, présente mais sans l'être, affirmée mais sans combattre. Soutien psychologique, affirmation de pensées, pas de participation. Tout l'inverse du paternel de la jeune, investit dans la résistance, tant qu'il fut tué sous les yeux de sa fille alors âgée de neuf ans. Tué par une Mangemort aux yeux azurs, un regard glacé qui hanterait à jamais la jeune fille de neuf ans. Chacun sait que la mort est une souffrance, terrible douleur. D'autant plus que la personne est proche de vous, et Maria ne supporta pas la mort de son père. Moins encore la passivité de sa mère qui se rangea sagement dans la masse lorsque le Mal prenait de l'importance. La mort change une personne, dans son comportement, mais aussi dans son caractère. Petite, Maria avait été une fille souriante, au regard pétillant, plein de vie et d'espoirs. Seulement, ce regard pétillant avait vu la plus cruelle des choses qu'il aurait pu voir. Il avait vu la mort de son père, et cela changea radicalement ce doux et sympathique regard. Cela changea radicalement la souriante jeune fille qu'était Maria. La rupture se fit avec sa mère, la jeune femme trouvant lors de ses seize ans le refuge dans les enseignements d'un Mangemort. Apprenant par instinct de vengeance, la demoiselle était bonne élève. Deux ans plus tard, quand le Mangemort voulut que la demoiselle reçoive la marque des Ténèbres, celle-ci prouva l'avoir surpassé, tuant son mentor. Pas de marque. Pas d'alignement. Une seule envie, la vengeance.

Lui a presque un prénom de Dieu nordique, Tor. Un jeune homme un rien particulier et hors du commun. On ne peut pas dire de Tor qu'il eut une enfance triste ou sans aucun amour. En réalité, il avait une mère qui était aimante pour deux. Sa mère savait tout où presque de son fils, et inversement. En revanche, le père de Tor restait le plus grand mystère du jeune homme. D'apparence simple, son père était un cuisinier, mais ça ne s'arrêtait assurément pas là. Son père avait ses cicatrices sur le corps, comme s'il avait pris part à une guerre. Mais l'homme ne disait rien à son fils, se cantonnant dans le silence. Dès ses douze ans, Tor entendant souvent des clients du restaurant parler de voyages et d'autres contrées, le jeune homme développa une volonté incroyable à voyager également. Seulement voilà, il avait douze ans, c'était un peu jeune pour prétendre quoi que ce soit. Cependant, son père prouva une fois de plus être un mystère. Prenant le jeune homme sous sa tutelle, il lui apprit à combattre avec de nombreuses armes blanches, comme à la baguette. Puis il y eut ce jour lorsque Tor avait seize ans, celui où sa vie bascula violemment. Un groupe armé entra de force dans le restaurant, et au terme d'un combat, le père de Tor était tué, le jeune homme laissé pour mort, une profonde cicatrice entraverait son dos. L'envie de vivre de Tor allait de paire avec son envie de vengeance née ce jour là. Son envie de vengeance se mélange à une folie des plus surprenantes, faisant de lui une personne aussi imprévisible que sympathique.

Seulement voilà, ces deux personnes ne semblaient en rien avoir quoi que ce soit pour se rencontrer. Encore moi pour devenir intimes. Il fallait remettre les choses dans leur contexte. Maria était allé de duperies en duperies, les hommes s'amusant à éclater ce coeur qui aurait pu paraitre, il y a quelques années encore, insensible. La jeune femme s'était faites une bulle protectrice sans sentiment. Comme si son coeur était dans une prison de titane et de barbelés infranchissable. Cette prison lui sert de rempart contre ce dont elle a le plus peur, aimer. Car comme elle le disait, aimer c'est perdre le contrôle. C'est ne plus penser en «je», mais en «nous». Aimer c'est concéder et devoir agir avec quelqu'un. L'italienne aimait sa liberté. Le jeune homme avait lui aussi eu sa part de malheur sentimentalement. Il avait aimé une jeune femme, démesurément. Bien trop démesurément, et cela avait échappé à son contrôle. Bien trop investi, la seule issue possible à l'amour inconditionnel qu'il portait à Charlie semblait de toutes façons voué à connaître une fin tragique. Ce fut le cas. La jeune femme le trompait avec un jeune homme qu'elle désignait être son «frère». Ce fut la première fois que Tor versa du sang humain dans la mort. Violent était le terme qui désignait le comportement qu'il avait eu. Il avait tué le jeune homme pour pouvoir récupérer sa chère et tendre. Celle-ci était abattu, mais proche de Tor plus que jamais. Le remord rongeait Tor dès qu'il était avec elle, bien qu'amoureux, il se sépara de la jeune femme, quittant le Lancashire pour revenir à Londres. Aimer, c'est perdre le contrôle.

Cependant, la vie est ironique, et de loin pas un long fleuve tranquille comme certains se plaisent à vouloir nous le faire croire. Ayant quitté la maison à la fin de ses études et pour trois années, le jeune homme avait développé quelques dons. Le vol notamment. Il louait ses services. Et ces habitudes, notamment la première ne s'arrêta pas avec sa prise de position à Londres. Pire que tout, il développait une envie folle et irréalisable aux yeux de certains. Il voulait braquer Gringott's. Entrer dans la légende, le premier à avoir braquer la banque sorcier. Mais il lui fallait s'entourer, et le projet battit de l'aile lorsqu'il rencontra une jeune femme qui allait changer sa vie. Elle était assez grande, dans le mètre soixante-dix. Dans un corps parfaitement élancé, des formes sublimes, sublimées encore par ce charme qui caractérisait la jeune femme. Un charme italien, naturel, presque tout autant que le charme des vélanes. Elle avait ce quelque chose de fragile, ce quelque chose qui donnait l'impression qu'elle était une jeune femme prude, douce et sans défense. La brune avait des yeux noirs. Noir comme deux perles de jais au milieu d'un visage un peu pâle. Ils ressortaient parfaitement, était-ce le blanc du visage qui accentuait le noir des yeux ou l'inverse? Difficile de répondre, mais cela procurait à la jeune femme un air unique. Une beauté unique. Un charme incroyable.

Cependant, la vie est ironique, et de loin pas un long fleuve tranquille comme certains se plaisent à vouloir nous le faire croire. Fuyant sa mère à la recherche de la Mangemort qui avait tué son père, la jeune femme avait développé quelques dons. Son charme notamment. Elle jouait de sa beauté. Et cette habitude, notamment de jouer avec son charme se prolongeait comme elle cherchait la meurtrière. Elle avait appris à se faire incroyablement attirante et irrésistible aux yeux des hommes. Elle n'avait dans la tête que son envie de vengeance. Entrer dans les annales pour avoir tuer une Mangemort. Elle ne voulait pas s'entourer, cela devait être sa vengeance à elle, personne ne devait interférer. Mais ce projet sembla soudainement faire une halte, lorsqu'elle rencontra un jeune homme qui allait changer sa vie. Un charme insouciant, dans une folie démesurée, tel semblait être le charme que ce jeune homme dégageait. Il mesurait à peu près la même taille qu'elle, à peine plus grand de quelque ridicules et insignifiants millimètres. Un charme qui semblait involontaire et fort peu maitrisé par le jeune homme. Il avait ce quelque chose de surprenant, toujours surprenant, imprévisible, autant qu'une soudaine bourrasque de vent. Et il avait cette insouciance, comme si sa vie pouvait s'arrêter sur le champ et que ça ne le dérangerait pas. Il avait les cheveux bruns, presque blonds et des prunelles vertes assez discrètes car d'un vert assez étouffé. Fort de ses vingt-deux ans mais surtout d'entrainements réguliers qu'il s'imposait, le jeune homme était musclé, sans tomber dans l'excès, juste de quoi le rendre charmeur. Toujours un sourire aux lèvres. Une folie démesurée.

Evidemment lors de leur première rencontre dans ce parc, tout n'avait été qu'un vulgaire et stupide jeu. Un simple jeu entre deux personnes qui aimaient voir où se situaient les limites de l'autre. Un jeu dont on attendait pas même de vrai finalité. Simplement, ils s'étaient provoqué à force de regards et de sourires malicieux. Ils avaient joué à se séduire en se disant qu'il n'y aurait rien, que ce n'était que pour rigoler. Mais finalement, comme un enfant avec une allumette, ils s'étaient brulés. A jouer à se séduire et à se rapprocher, ils avaient finalement fini par prendre conséquence d'une vérité surprenante tout autant que imprévisible. Tor était passé outre le mur de titane et les barbelés. Maria avait délogé Charlie. Chacun avait trouvé une place dans le coeur de l'autre, sans même qu'un des deux ne se soient rendu compte de la vérité. Du moins avant qu'il ne soit «trop tard». Ils avaient développé dans leur jeu de séduction, des sentiments, sans en avoir conscience. Et il avait fallu l'intervention d'une boule de poils noire nommée Véga pour qu'ils s'en rendent compte. Un chaton un peu trop humain qui semblait comprendre les sentiments comme les paroles. Un chaton qui se prenait pour un entremetteur. Un chaton qui avait compris les deux personnes mieux qu'elles ne se comprenaient elles-même. Un chaton qui les avait rapproché. On pouvait le dire aujourd'hui, pour le meilleur et pour le pire.

Le meilleur fut cette nuit là. Les deux jeunes gens avaient été au plus proche qu'il pouvait l'être. Ils avaient partagé leur intimité dans une nuit de délices et de plaisirs partagés. Une nuit trop courte, bien trop courte aux yeux des deux personnes. Mais au delà de cette nuit et des ces agissements nocturnes. Au delà de cette passion échangée dans ses draps, il y avait des sentiments. Tous deux tentèrent dans un premier temps de se convaincre du contraire, c'était impossible. La jeune femme n'en voulait pas, lui n'en voulait plus. Pourtant, l'évidence était là, irrésistible, violente, bien présente. Ils étaient amoureux l'un de l'autre. D'un même amour fort et réciproque. D'un même amour involontaire et indésirable, mais d'un amour pourtant puissant, fort, unique. Plus puissant et fort que le pire. Que s’était-il donc passé pour ces deux jeunes gens? Qu’est-ce qui était arrivé à ces deux personnes qui avaient tant de mal à s’affirmer sentimentalement? Eux qui d’habitude se montraient si fort, si capable. Eux qui d’habitude prenaient soin de ne rien laisser transparaitre. Eux qui d’habitude savaient garder une si froide distance vis-à-vis de ce qu’ils pouvaient ressentir. Sans raisons apparentes, sans compréhension possible, ils avaient découvert l’un avec l’autre que le cœur à ses raisons que la raison ignore. Etait-ce pour leur plus grand bonheur ou leur perte? L’avenir seul le dira, mais au moins, cette union bien qu’informelle, serait pour le meilleur et le pire. Le meilleur…Le pire…

Le meilleur est un moment délicat, dur à protéger. Tout autant faut-il avouer que le fragile équilibre d’un couple d’amoureux. Quoi de plus beaux que deux jeunes amoureux, profitant ensemble de la vie, vivant chaque instant avec ce bonheur dans les yeux? Pourtant, ces deux jeunes gens qui se plaisaient l’un à l’autre étaient passés très près de se haïr. A la vérité, ils en étaient même arrivés à se haïr. C’était pourtant un jour comme cent autres qui se commençaient à ce détail que Tor avait invité sa dulcinée à le rencontrer. Amoureuse et peut-être soumise à la force de cet amour, elle était venue, pour vivre le pire. Il l’aimait pourtant, mais jamais rien n’est simple, plus encore avec le jeune homme. Sans raisons, sans motifs, sans que rien n’ait pu laisser imaginer ce qui allait se passer, le jeune homme pointa une arme sur la jeune femme. La tête, la gorge, le cœur, toutes ses zones auraient été mortelles, il le savait. Il était à une pression de mettre fin à tout cela, à cet amour qui le hantait, à ces rêves érotiques qu’il faisait de la demoiselle. Un problème de personnalité à cause d’un problème d’assurance, une voix au fond de lui qui l’obligeait à être un autre, plus dangereux, plus mauvais. Il n’était pas vraiment lui alors qu’il tenait l’arme dans la main. Le doigt fit pression sur la gâchette, mais la main n’était pas sûre, comme si une personne invisible derrière lui voulait l’empêcher de viser la jeune femme. Ce fut le cas, au moins en partie. Le coup partit, dans le bras de la jeune femme.

Pouvait-il alors encore s’aimer? Pouvait-elle l’aimer encore après ce geste? Comment aurait-elle encore pu l’aimer après un tel geste? Lui-même, pouvait-il encore dire l’aimer? L’aimait-il encore? Cela fait beaucoup de questions, mais toutes se résolvaient en une seule et unique proposition. Oui ils s’aimaient, malgré lui, malgré son geste, malgré tout…Malgré eux…Ils s’aimaient, ils ne pouvaient rien faire contre cette évidence. Evidemment à la suite de ce geste incompréhensible pour la jeune femme, elle nourrit envers le jeune homme une forme de haine, de colère. Qu’était-ce exactement comme ressentiment était difficile à dire, elle-même ne savait pas trop. Elle était consciente de l’aimer trop pour lui en vouloir. Elle voulait le revoir, parler avec lui, le remettre à sa place comme elle le pourrait. Une hésitation, le pourrait-elle vraiment? Elle en doutait, pourtant cette question demeurait: Pourquoi ce geste de la part du jeune homme? Inexplicable autant qu’inexpliqué. Pourtant, ils continuaient de s’aimer, tout en se haïssant autant que leur amour le leur permettait. Peut-être eut-il été mieux qu’ils ne se revoient jamais, mais comme chacun sait que la vie s’amuse à jouer des gens. Qu’elle s’amuse à jouer avec les gens, leur ressentiment, tout est prétexte pour elle à amusement.

C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent, au même endroit, au même moment, sans pour autant qu’aucun n’y ait été convié. Ils étaient simplement au bon endroit, au bon moment. Enfin, évidemment, il faut relativiser cela, pour l’heure, rien n’est encore sûr. La rencontre se passe comme elle devait se passer, ou au meilleur qu’elle put se passer. Il lui demanda pardon, promettant de s’expliquer, arguant qu’il ne pourrait jamais lever la main sur elle. Elle, était perdue entre le tuer et l’aimer, et elle le gifla, comme pour s’assurer que vraiment, il ne puisse la frapper. Faisant fie de cette gifle, il reprit la parole, lui expliquant qu’il n’était pas vraiment lui à ce moment où il l’avait blessé, qu’il se fichait bien du monde, pourvu qu’il soit avec elle. Et elle rétorqua par des mots abjectes, des mots de mort, mais elle n’en fit rien, trop amoureuse. Regrettant que tous deux le soi car il aurait été plus facile pour eux de s’entretuer. Finalement l’amour l’emporta, il fut le plus fort. Des sourires, des baisers, quelques larmes, une confession de la jeune femme. Main dans la main, avec un air idiot que la jeune femme détestait, ils partirent, laissant tout derrière, vivre tout simplement, ensemble…
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Tor Barda
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MessageSujet: Re: La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous}   La fin de tout? {Rp de fin, ouvert à tous} - Page 2 Icon_minitimeMar 27 Jan - 10:16

Alors qu’en étaient-ils d’eux désormais qu’ils avaient fuis cette guerre? Qu’étaient-ils advenus de ces deux personnes oh combien particulières? Ceci aussi est une petite histoire, une petite histoire qui commença le soir même. L’amour avait fais preuve de sa force dans ce couple si particulier. Il avait attesté qu’envers et contre tout et tous, ces deux personnes s’aimeraient. Qu’ils le veuillent ou non. Oui ils aimaient et ils semblaient résolus à fuir ce monde et cette guerre. Ils avaient tourné le dos à cet affrontement manichéen. Pourtant cela en avait coûté à chacun d’eux. Elle qui voulait tant se venger de cette Mangemort qui lui avait pris son père et détruit sa vie. Lui qui avait ici un moyen unique que de jouer avec sa vie, de défier une fois encore la mort. Sa vengeance, celle pour laquelle elle avait tué. Celle pour laquelle elle s’était entrainée à maitriser les armes. Celle qui l’avait conduit à devenir ce qu’elle était, une jeune femme froide, implacable, aux allures fortes et intouchables. Pourtant si vulnérable dans son amour pour lui, tellement fragilisée par ce sentiment. Elle avait abandonné sa quête pour lui. Son égo, ce besoin qu’il avait de passer près de la mort pour se sentir vivant. Cet égo démesuré qui l’avait toujours poussé à avancer, à faire des conneries. Sa volonté de venger son père? Depuis longtemps laissé au profit de son égo. Cependant, cet égo, il l’avait crevé pour se faire tout petit devant une charmante jeune femme. Chacun avait fais un sacrifice, dans l’espoir d’un bonheur plus grand encore.

La jeune femme avait perdu son père, plutôt, il lui avait été arraché. Elle n’était jamais allée sur la tombe de son paternel, jamais. Cette phrase fit faire un bond aux pensées du jeune homme, plutôt à son cœur, même si ça, il ne le concéderait jamais. Maria, si forte et si capable n’avait jamais eu la force d’aller voir la dernière demeure de son père. Le fait d’en parler la mettait aux larmes, et Tor savait que la décision qu’il venait de prendre n’était pas obligatoirement la meilleure de celle qu’il aurait pu prendre. Pourtant, si la jeune femme lui avait avoué cela, comme on avouerait un secret honteux, c’était assurément en quête de soutien. Peut-être même espérait-elle qu’il lui force la main. Ce fut le cas, ils venaient de laisser cette guerre derrière eux depuis quelque pas, quand le jeune homme lui dit qu’il l’emmenait voir la tombe de son père, immédiatement. Le voulait-elle vraiment? Tor n’en saurait certainement jamais rien, mais il accompagna la jeune femme à travers le cimetière. Des trombes d’eau tombaient du ciel en lourdes gouttes, le jeune homme avait transformé sa veste en un parapluie de fortune. La jeune femme contre lui, blottie pour être à l’abri, bien qu’il fut probable qu’en cet instant, elle se fiche éperdument de la pluie. Il semblait que ce soit plus pour sentir la présence, rassurante à ses yeux et en cet endroit, du jeune homme près d’elle.

Ils y arrivèrent. Elle n’était jamais venue, mais savait où était enterré son père. La marche c’était effectuée dans un silence religieux, au seul son des gouttes d’eau qui se brisaient sur le sol. Tous deux se tenaient devant la pierre qui indiquait le nom du mort. Une pierre grise, frappée de lettre d’or. Un peu de temps passa, en silence, sans aucun mouvement de l’un ni de l’autre, tous deux comme incapables de délaisser du regard cette pierre. Tous deux comme figés par le fait d’être en ce lieu. Lui ne savait trop comment réagir, se contentant de fixer la tombe espérant avoir fais le bon choix pour la jeune femme. Il priait intérieurement, pour la jeune femme, pour son père. Maria restait de marbre, semblait rester de marbre. L’évocation de son père avait suffis à susciter chez elle des larmes, pourtant en cet instant, elle restait tellement implacable, tellement intouchable. Ce qui devait arriver arriva. Cela arrivait toujours, c’était toujours ainsi. La jeune femme se tourna vers son amant pour se laisser aller contre, l’enlaçant si fort qu’elle le pouvait, des larmes coulants sur ses joues. Lui avait laissé tomber la veste, sentant la jeune femme contre lui. Il serra autour d’elle ses bras, de façon tendre, rassurante, lui prouver qu’il était là, avec elle. Il la garda tranquillement dans ses bras, serrant un peu plus son étreinte, il la forçait à rester contre elle, et elle se laissait faire. Combien de temps passa sous cette pluie était difficile à dire, jusqu’à ce que finalement la jeune femme se décide à les transplaner ailleurs, chez lui.

Les heures passèrent, puis un jour, et un second. Les deux jeunes gens étaient d’accord, ils devaient devenir des gens normaux, dans un monde normal, autant que possible. Tor avait parlé de recommencer une nouvelle, elle avait argué qu’il leur fallait partir ailleurs. Ils partiraient donc ailleurs, une destination d’un commun accord. Quitte à commencer une nouvelle vie, que ça en vaille la peine. Direction l’Australie. Un peu plus réfléchie et moins impulsive que lui, la jeune femme eut toutefois la bonne idée que de demander comment ils subsisteraient. Le jeune homme avait parlé de trouver un travail honnête de devenir des gens normaux. Etait-ce seulement possible pour deux personnes qui n’avaient presque connu que le combat de leur vie entière? Tous deux, pour subsister, avaient fais des petits boulots, voler, le nécessaire pour survivre, ni plus ni moins. Tor avait eu le loisir cependant de pouvoir habiter dans l’ancienne maison de ses parents, héritage familial. Il y vivait avec un chaton, et il y avait eu une locataire, psychologue au collège magique, celle-ci avait quitté le domicile. Maria et le jeune homme passèrent quelque journées ensemble dans cette grande maison, se tâtant sur comment refaire leur vie, au singulier, car commune désormais. Une seule et même vie évoluant à l’unisson. Lui savait cuisiner, ils auraient pu ouvrir un restaurant, idée idiote, ils se seraient ennuyés l’un comme l’autre. Ils avaient besoin d’aventures. Elle avait été serveuse, elle aurait pu l’aider dans le restaurant qu’ils auraient pu ouvrir, idée idiote, ils se seraient ennuyer.

L’idée, mauvaise bien entendue, vint de lui. De lui ou d’elle, aucun d’eux n’était véritablement prêt pour un métier honnête, en faites, ils auraient tous les eux été aises de pouvoir continuer leurs vies de survie. Sauf que désormais, il leur fallait penser au pluriel. Aussi, il fallait voir plus grand, donc trouver de l’argent. Elle était calme, posée, mesurée et calculatrice. Il était intuitif, chanceux, et trop téméraire. Pourtant, sans qu’aucun ne s’explique pourquoi, la jeune femme accepta son idée, sa folie. Elle l’aimait pour ça, mais il n’aurait jamais pensé qu’elle le suive dans cette aventure. Braquer la réserve moldu d’or de ce beau pays que l’Angleterre. Une folie sans nom, à la démesure de la folie de Tor. Les chances de réussir étaient faibles, pour ainsi dire inexistantes. C’était un pari, tout ou rien diraient certains, ils auraient parfaitement raison. Désormais pour les deux sorciers, c’était riche comme Crésus ou la prison. Un pari risqué, mais l’un et l’autre n’avait pas peur de le prendre, ils allaient tenter, quitte à en payer le prix. Imaginez donc, la réflexion et l’intelligence de la demoiselle au service de la démence de son cher et tendre. Ils en arrivaient cependant à une conclusion unique, ils pouvaient réussir, mais ils auraient besoin d’un coup de main d’un moldu, dans la police. Un homme sur qui il pourrait compter pour leurs laisser une échappatoire. Tor en connaissait un, serait-il vraiment de confiance? Il ne savait peut-être. Quoi qu’il en soit l’homme se laissa convaincre.

Ils le firent, malgré les risques, avec cette peur au ventre, cette adrénaline qui s’était emparée d’eux. Ils avaient absolument tout médité, de A à Z, tout avait été prévu. Ils entrèrent en se faisant passer pour des personnes de la sécurité de la banque. Le troisième homme entrait en scène à ce moment là, téléphonant à la sécurité pour indiquer un problème dans le système de retransmission des données. Ils purent ainsi accéder à tout le système de sécurité. Déconnecter les caméras fut une partie de plaisir depuis l’unité centrale, même si les gardiens étaient plus actifs, qui se seraient méfié de deux personnes chargées des caméras en panne! Assurément, ils étaient les sauveteurs. Des sauveteurs sous Polynectar d’inconnus sur lesquels ils avaient pris des cheveux. Vérifier toutes les caméras pour trouver la défaillante qui émettait un signal, qui n’existait pas, à la police. Six caméras surveillaient avec attention la réserve d’or. Inactives et inutiles technologies que ces caméras en ce moment précis. Une escorte personnelle de trois gardiens un peu inattentif bien que visiblement tendus de part la situation. Quelques instants plus tard, sans vraiment comprendre, ils étaient à terre inconscients et saucissonner. Nos deux voleurs purent alors se lancer dans leur méfait bien tranquillement. Les lingots étaient entassés, combien il y en avait est impossible à dire, des lingots à perte de vue. Trois sacs furent remplis du même nombre de lingots, cent lingots par sac. Pour un poids total de trois cent kilo. Personne ne porta les sacs, la magie opéra pour la première fois pour les faire sortir. Et les voleurs sortirent, ainsi qu’ils étaient entrés, rebranchant les caméras.

Un sac par personne, cent lingots chacun. A raison de 300$ pour une once d’or, on arrivait à 9600$ le kilo, ce qui faisait 960.000$ par tête, de quoi vivre déraisonnablement toute sa vie. De toutes façons plus qu’il n’en faudrait jamais pour Maria et Tor. Bien plus également qu’il n’en faudrait jamais au policier qui pourtant avait longtemps été opposé au jeune homme…Vincent Winnfield, un homme pas comme les autres…Voler cet or c’était presque ruiner le pays, était-ce l’objectif des trois cambrioleurs? Non, ce n’était pas le cas. Une escroquerie de plus, à des mafieux qui achetèrent l’or au prix du cours actuel, avant de se faire arrêter avec la totalité des lingots. Ici aussi, le Polynectar avait officié. Même si ce n’eut pas été le cas, personne n’aurait pu retrouver un des trois voleurs. Vincent avait disparu dans Merlin savait trop quel pays perdu, Maria et Tor étaient partis là où ils avaient décidé d’aller, l’Australie. Riches et libres, tout ce qu’il fallait à ses deux personnes curieusement réunis par le destin. Ces deux choses et un chaton qu’aucun d’eux ne voulaient oublier, Vega. Petite boule noire devenue grande, mais semblant toujours encore comprendre trop bien les sentiments humains. Une petite mais belle villa sur une côte australienne, du soleil, la plage et la mer à côté, rien ne manquait aux tourtereaux qu’ils vivent une vie tranquille et sereine. Sur cette plage, par un coucher de soleil, le jeune homme avait plié un genou, présentant une bague à la demoiselle. Elle, le regardant avec un petit sourire en coin, une larme qui semblait vouloir s’échapper, un baiser, un moment de tendresse sur cette plage…
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