ouverture de la chasse [PV: Torben, Felix, Alathea][FINI]

Flash Back..2 jours avant le RP

La Gazette du Sorcier

SUICIDE INCOMPRÉHENSIBLE D'UN FAMEUX MANGEMORT

Hier matin, le corps du fameux mangemort, Basile Van Locken, ressortissant belge, qui fut un des héros de la grande bataille de Poudlard, fut retrouvé pendu au lustre de sa chambre à coucher, étranglé par une corde à rideaux.
C'est un voisin, alerté par des bruits suspects qui alerta les aurors. Les enquêteurs, sur place, n'ont pas voulu donner plus de detail que ce qui suit, car l'enquête est en cours. c'est donc la thèse du suicide qui est retenue, car il n'y avait aucune trace de lutte et la porte de son appartement n'était pas forcée. Cependant, ce même voisin aurait juré avoir vu une tierce personne partir précipitement de l'appartement, au moment du drame.

La famille est sous le choc de cette terrible nouvelle. La victime n'était sujette à aucune dépression, n'avait pas spécialement d'ennemi. C'est donc l'incomprehension qui règne au sein de la famille Van Locken. Un ami proche de la victime a cependant confié à notre correspondant ,qui était sur les lieux du drame, que Mr Van Locken était très préoccupé ces derniers temps par une histoire de carte au trésor “Il etait tellement obsédé par cette histoire, qu'il n'en dormait même pas et était très rarement chez lui. Je pense qu'il est devenu fou...cette histoire de carte et de clef était tout bonnement ridicule!” nous confie cet ami proche. Donc suicide ou règlement de compte?
Notre correspondant dépêché sur place poursuit l'enquête.

FG.

Spoiler:

Fin du Flash back.....

2 jours plus tard......

C'était le soir, bientôt 7 heures. Alathea marchait d'un pas rapide dans les ruelles de Près-au-lard. De temps en temps elle stoppait sa marche et se retournait comme pour s'assurer qu'elle n'était pas suivie.

Depuis qu'elle avait reçu cette étrange lettre ce matin, un sentiment de panique mélangé à l'excitation était monté en elle. Une lettre anonyme. Et incompréhensible en plus de cela.

La lettre disait:

”mari perdu, mari vengé, car son meurtrier gît maintenant sous le pavé. Si Dame veut la vérité, elle doit se rendre aux trois balais, dès que les sept coups du soir auront sonné, puis au déserteur aller parler.”

Elle repensa à l'étrange missive qui lui promettait de lui livrer le nom de l'assassin de son époux.
Enfin, elle allait savoir. Enfin, elle pourrait terminer son deuil, tourner la page et recommencer une nouvelle vie. Edward...

L'image du noble de Flandre lui vint en tête et lui réchauffa le coeur. Il était si charmant, et si prévenant. Sa rencontre avec Edward avait chambouler beaucoup de choses dans son univers. Pourtant, le sentiment de culpabilité qu'elle ressentait faisait qu'elle était incapable de commencer quoique ce soit de concret avec lui....

L'ombre d'Arthurus planait toujours dans son coeur et dans sa tête. Mais ce soir, elle allait enfin savoir. ce soir peut etre, elle allait pouvoir enfin aimer à nouveau...

Plongée dans ses pensées, elle arriva finalement devant ce pub, tant fréquenté des élèves de Poudlard et des habitants du village. Ce café était aussi gorgé de souvenirs...

Elle revoyait Arthurus dans son costume d'élève, vert et argent, des mèches noires qui lui tombaient sur le visage et ses yeux sombres qui la transpeçait chaque fois que son regard se posait sur eux.
Leur premier baiser aussi... c'était derrière ce pub, justement. Arthurus l'avait ammené, la tenant par la main, par une porte dérobée qui conduisait à un chemin. Là, il avait pris son visage entre ses mains et l'avait embrassé passionnément.

Alathea soupira, comme pour sortir de ses souvenirs qui la rendait trop nostalgique.

Elle pénétra dans le bar. À cette heure, pas d'élèves, ce devait être l'heure du repas, mais quelques adultes éparpillés autours des tables. Elle chercha des yeux un homme... un déserteur.. qui cela pouvait-il bien être? Elle n'en avait aucune idée. Elle n'avait aucun déserteur encore vivant dans ses connaissances... bah, il finirait bien par se manifester.

Elle trouva une table libre, dans le fond du bar, et s'y installa. C'était parfait, car elle pouvait surveiller les allées et venues des clients, et ceci en toute discrétion... et si, par hasard un quidam lui ferait penser à un déserteur, elle s'assurerait qu'il viendrait s'asseoir à sa table. Ainsi confortable, elle commanda un amarreto des collines des Dieux (qui n'était toujours pas de fabrication moldue.. mais bon, c'était au moins italien, ce qui était déjà pas mal..) et attendit, scrutant la porte du pub, en espérant voir arriver ce fameux inconnu qui allait enfin répondre à toutes ses questions.

Torben Badenov fendait d'un pas vif la masse de gens qui marchaient dans la rue de Pré-Au-Lard en ce tout début de soirée. FOutue neige qui commençait à tomber à nouveau. Le petit village allait bientôt devenir un cloaque de boue, une fois que l'épais manteau blanc immaculé commencerait à fondre. Enfin bref, c'était avec la mine fermée et un air maussade sur le visage que Torben traversait la rue principale du petit village. Il n'hésitait absolument pas à bousculer les passants qui ne s'écartaient pas assez vite de son passage. Le mangemort semblait disons... en colère? Oui peut être bien, c'était après tout le mot qui convenait. Pourquoi était-il dans cet état grognon et plutôt aggressif? Tout simplement, la cause de cette humeur maussade était un petit bout de parchemin froissé, tout chiffoné à l'intérieur du poing serré de Torben... Petit mot qu'il relut encore une fois tant toute cette histoire semblait invraisemblable...

"“trésor perdu, mais peut être retrouvé, si la veuve noire veut bien aujourd'hui se montrer aux trois balais, des que les sept coups du soir auront sonnés.”

.... P'tin, la sale affaire qui puait le pièges à des lieues à la ronde, inutile d'être un grand penseur pour s'en rendre compte! Déjà, à quelle obscure histoire ce bout de papier miné faisait-il référence? Cet évènement, noyé en plein milieu de temps d'autres, fut presque oublié par le jeune estonien... Cela remontait à un bon moment... Un an, peut être deux... Torben avait fait irruption avec deux camarades mangemort, chez une famille d'opposants au Lord. Ils avaient tué tout le monde, sauf une seule personne qui avait survécu à l'odieux carange. Toute la famille fut décimée par Torben et ses deux compères, plus âgés. Cette famille, dont Torben avait oublié le nom, disposait d'une énorme réserve d'or, et les trois camarades se l'étaient appropriée. Cachant leur butin, ils s'étaient jadis jurés de tout se partager équitablement....

Bien entendu, Arthurus Cooper, l'un de ses amis mangemorts, avait été tué peu de temps après cette sombre affaire. L'annonce de la mort du troisième comparse, un sorcier belge, avait quelque peu inquiété Torben. Il faut dire qu'avec sa désertion, l'annonce de sa future paternité et de ses fiançailles lui avait fait sortir de la tête ces vieux évènements.... Seulement voilà, ce soir, quelqu'un avait découvert la vérité et le conviait à un rendez vous... Qui cela pouvait-il être? Un mangemort? Le fameux survivant du massacre? QUi? C'est emplit de ces interrogations que Torben poussa la porte d'entrée des Trois balais, caché bien entendu par une cape noir à capuchon, qui lui redescendait sur le visage... Il se dirigea derechef vers la personne qui semblait être indiquée sur le papier: la veuve d'Arthurus.

- Madame Cooper, enchanté. Pouvez vous me dire ce que je fais ici?

(HJ: Bon, je repond maintenant, pour répondre à la question de Torben et pour faire avancer le smilblick. )

Il faisait tellement bon au chaud.... Alathea risqua un coup d'oeil dehors: la neige commençait à tomber sur le petite village de Pré-au-Lard. Si la neige pouvait tomber jusqu'à Londres et persister, ce serait Matheo qui serait content. Tous les bonhommes de neiges et les autres jeux qu'il pourrait faire dans le jardin! Elle adorait voir son fils, les yeux émerveillés par cette pluie de coton blanc qui annonçait les premisses de Noël.
Mais bon, ce n'était pas Noël le sujet de cette soirée, quoique... Revenant à ses esprits, elle se retourna vers la porte d'entrée, scrutant toujours les alléees et venues. Elle mourrait d'impatience de voir ce mystérieux inconnu... le déserteur.. qui cela pouvait il bien être....

Soudain, un homme, dont le visage ne lui était pas complètement inconnu, arriva en trombe dans le pub, la mine renfrognée.. Oula... il avait dû passer une sale journée celui-la. Il balaya du regard le pub. Il cherchait visiblement quelqu'un. Puis il posa les yeux sur Alathea et fonça, le visage furibon, vers elle.
Le temps qu'il arrive à sa table, un nom lui vint en tête: Torben, le membre de la garde personnelle de Lord Voldemort, qui, justement, ne remplissait plus ses fonctions depuis un certain temps à cause d'une sombre affaire de disparition d'une mangemorte. On racontait même que cette histoire l'avait rendu complètement fou... Le déserteur... *bon sens mais c'est bien sur!!! * (musique des 5 dernières minutes Cool

)

Alors donc c'était lui qui allait la sortir de cet insuportable mystère et lui révéler le nom de l'immonde assassin qui avait osé massacrer Arthurus.
Remplie alors de joie et d'espoir, elle commença même à se lever pour l'accueillir et le presser de questions.

Malheureusement, il posa la question avant elle, et visiblement, n'avait aucune idée pourquoi il se trouvait ici ce soir. Lui même croyait qu'elle en savait plus que lui.

Ceci lui fit l'effet d'une douche froide. Elle se rassit presque instantanément, comme réponse à sa question. Son visage se crispa. La déception et l'agacement commençait à la submerger. C'était tout juste si elle n'allait pas juste fondre en larme, comme une gamine, devant lui, ou bien même lui foutre une baffe. Mais le stoïcisme bien britannique reprit vite le dessus sur le sang chaud latin... heureusement, sinon elle aurait eu l'air bien ridicule, et lui n'aurait pas spécialement apprécié..

Elle ouvrit la bouche, comme pour parler, mais aucun son ne pu en sortir. Elle avait le message dans sa main. La seule chose qu'elle pouvait faire, c'était de le lui montrer. Peut-être que cela allait lui dire quelque chose!

Il prit le papier et le lu très vite, puis la regarda l'air incrédule.
Elle bu d'un coup sec une gorgée de son amarretto, ce qui eut pour fonction de lui débloquer les cordes vocales. Elle pu enfin parler.

Moi aussi, j'avais cru que vous pourriez me donner une réponse et une raison de ma présence ici. Mais visiblement, je me suis trompée. Vous êtes tout aussi ignorant que moi.

Cependant, je ne savais pas que la mort de mon mari vous aurez autant interressé, au point de venir jusqu'ici.. je ne me souviens plus vous avoir vu à ses funérailles, ni avoir reçu aucun message de soutient à la famille de votre part... A moins que ce soit une toute autre raison qui a fait que vous vous êtes déplacé pour me voir... et visiblement, ça l'air de quelque-chose de préoccupant car vous êtes d'une humeur excecrable

D'un mouvement de tête qui désignait une chaise devant elle, lui fit signe de s'asseoir.

Je pense qu'on va avoir quand même des choses à se dire. Et la soirée risque d'être longue...Vous buvez quelque chose? C'est moi qui invite.

Qu'est-ce-que Torben Badenov avait à voir avec Arthurus? Qu'est ce que ces saligots, stronsi, bastardi d'uomo avaient bien pu trafiquer comme magouilles qui auraient entraîné la mort d'un homme.

Elle continuait à le fixer dans les yeux, comme pour lire dans ses pensées, de la même façon qu'elle fixait Matheo qui avait fait visiblement une bêtise, et qui ne voulait pas se mettre à table, ou quand Arthurus rentrait bien trop tard de mission avec un air un peu trop joyeux ou mystérieux pour être tout à fait honnête...ses yeux noisettes étaient en train de virer au vert.

Invité

Lorsque Félix poussa la porte des Trois Balais, le gérant sut que Félix était la pour s’adonner à son occupation favorite, boire. Et Félix allait boire. Cela faisait plusieurs semaines que Félix était très régulièrement saoul. Félix s’installa au comptoir, jugeant que prendre une table allait ralentir le gérant dans toutes ses livraisons de commande. Félix but une première gorgée et savoura l’arome de la bière, continua à boire jusqu’à ce qu’il voit trois barman au lieu d’un seul barman. Félix se retourna, contemplant la salle enfumée et remarquant rapidement les habitués. Ils y en avaient beaucoup et Félix les connaissait tous par leurs prénom. Félix vit toutefois une personne qui n’était visiblement pas une habituée de l’établissement. C’était apparemment une femme, à en jugeait par sa corpulence. Elle était assise à la table et avait le visage cachait sous le capuchon de sa cape et sirotait une boisson. Elle regardait l’entée, comme si elle attendait quelqu’un. Soudain, un homme à en jugeait par sa corpulence, entra en trombe dans l’établissement, chercha quelqu’un du regard, le fixa sur la femme qu’il ne connaissait pas, la regarda, et après quelque seconde se dirigea vers elle. Ils échangèrent quelque mot et s’asseyant, ils commencèrent à discuter.
Soudain, Félix tituba, bousculé par un autre occupant de la taverne. Dans son élan, aidé par l’alcool, Félix bouscula le serveur, deux personne, arriva à la table des inconnus, tomba raide la tête la première et retourna en même temps la table, étalant par terre tout ce que la table contenait. Se relevant péniblement, Félix regarda les occupant de la tables et dit:

"S'cusait m'ssieurs dames, ses l'autres qui ma bousculé. Je peux vous assurait que si je le retrouvent sa va bardé pour lui, foi de Félix Jaeger, dévoué serviteur du Mage noir!!!".

Félix regarda alors les intéressés et reconnu alors Torben Badenov, se déserteur. Sa main glissa alors lentemnt vers sa baguette, discrèttement si cela était possible sous l'effet de l'alcool

Torben avait été extrémement sec avec la femme de son défunt ami, et la joie qui s'était peinte sur ses traits de femme mûre () fut aussitôt évanouie. Elle s'était sans doute attendue que la revoir serait source de joie pour le déserteur, mais pas vraiment. Bien sûr, il appréciait Alathéa, mais ne l'avait vue que quelques fois, en compagnie de son mari. Disons plutôt qu'il était réllement déçu de cette réaction, car visiblement elle avait eu l'espoir fou que Torben en savait plus sur cette sombre affaire de missive. C'était cependant étonnant à quel point une simple question pouvait refroidir l'athmosphère. Alathéa s'était rassise, la mine sombre. La déception se lisait sur son visage, et Torben hésita l'espace d'un instant à partir de suite. En effet, quel interêt pour lui de rester ici, si Alathéa n'était pas la personne qui l'avait contacté? Et puis d'ailleurs, si ce n'était elle, qui cela pouvait il bien être? Cette histoire devenait frachement louche, et si la rencontre ne se serait faite dans un lieu aussi bondé, Torben se serait immédiatement esquivé, histoire d'éviter de tomber dans le piège qu'il pressentait...

La Delmonti semblait sur le poitn de craquer nerveusement. En effet, cette affaire touchait à son défunt mari, et il était normal qu'elle en soit touchée, mais le mangemort remarqua bien vite qu'elle serrait elle aussi un bout de parchemin dans sa main. Serait-il possible qu'elle aussi? Qui avait bien pu les convier à telle réunion? La femme lui tendit le papier, et Torben le saisit un peu brtalement, pressé de connaître le fin mot de l'histoire. Ce qu'il lut le laissa incrédule. Les yeux écarquillés, il regarda un instant la veuve boire son cocktail. Serait-ce un piège habile de la part de cette femme qu'il connaissait à peine? La personne qui leur avait écrit était bien renseignée, elle savait qu'il avait déserté le Ministère alors que les journeaux n'en avaient pas encore parlé. Qui cela pouvait-il bien être? Telle était la question...

Finalement, Alathéa prit la parole d'une voix acerbe, lui reprochant différentes choses concernant son mari et en essayant de faire l'esquisse de l'imbroglio de la situation.

- Non, effectivement je ne peux vous donner aucune réponse... j'ai reçu un bout de parchemin hier matin, et j'ai deviné que la veuve noire dont l'auteur faisait allusion était vous... Et oui, je suis désolé mais vous avez raison, j'ignore tout de cette affaire
mentit il habilement

- Pour votre mari, effectivement, j'étais absent. Sachez que je nétais alors pas remis d'une confrotnation avec ce pourceau de Rogue, mon corps était détruit. J'aimais bien votre mari, c'était un bon ami. Je suis désolé et veuillez accepter mes condoléances, bien que j'aurais dû vous les présenter il y a longtemps

Torben avait sauté la question sur la raison de sa venue ici d'une façon qui se voulait habile. Il s'assit sur l'invitation de son ainée et commanda un verre de kvas d'un signe au barman, qu'il connaissait bien. C'est alors qu'un espèce d'urluberlu, complétement plein, renversa leur table avec leur verre. Foi de Badenov, il allait lui payer. Lorsque le jeune homme ivre se releva, le mangemort le reconnut comme étant l'agent Jaeger, un soldat du Ministre. Celui-ci esquissa un mouvement vers sa baguette, mais Torben fut plus vif, et pointa la sienne sur la gorge de l'infortuné poivrot

- Tiens tiens tiens Jaeger... Voyez vous ça... Si vous bougez, vous êtes un homme mort.

- Chère Alathéa, voulez vous bien vous occuper de remmetre notre table en état pendant que je m'occupes de ce monsieur? Merci

Invité

Félix avait bien essayait de sortir sa baguette, histoire de lui envoyé un petit Sectumsempra, mais Badenov avait était le plus rapide. En un instant, Félix s’était retrouvé avec une baguette sous la gorge, et Badenov lui avait conseillé de ne rien tenté ou il était mort. La femme qui l’accompagnait, une dénommé Alathéa, parut un peu surprise par la tournure des évènements.

Félix chercha désespérément du secours parmi les clients de l’auberge, mais il était soit trop saoul pour réagir, soit il avait l’air d’avoir peur. Félix se mit à espérer qu’il y ait dans le coin deux ou trois gars du ministère, mais Félix n’espéra pas trop.

Félix cherchait toujours une solution à cette rencontre qui avait mal débuté. Il n’en vit aucune. Son cerveaux cherché toujours une solution et travaillé à une vitesse énorme, du moins en considérant la quantité d’alcool que Félix venait d’ingurgité. Félix passa en revue les différentes options qu’il avait dans sa tête :

Félix pouvait très bien utiliser la force, lui donnée un coup de genou dans les parties en espérant que cela lui donne le temps de renversait la situation avec sa baguette. Toutefois, si le coup de genou de Félix réussissait, qu’est ce qui lui disait que la femme n’allait pas intervenir ???????? Qu’est ce qui lui dit aussi que Badenov aurait assez mal pour ne pas avoir le temps de saisir sa baguette ??????? D’ailleurs, est ce que Badenov en avait, des c***les ????? Félix pensait que l’on en avait pas, lorsque l’on était déserteur, fuyard et obligé de se déguisé. Non, cette option lui paraissait trop risquée.

Félix se dit que s’il voulait survivre, il devrait user de la ruse. Félix en chercha une et la trouva :

Badenov, comme c’est regrettable que ta cavale se finisse ici. Le bâtiment est cerné par les mangemorts, tes anciens collègues. Et tu connais la meilleur ????? Non ???? Eh bien !!! Ils sont venus pour toi !!!! Eh oui, pour toi !!!! A ta place, je prendrai sa comme un honneur que l’on déplace du monde pour une crevure comme toi. Bon sa suffit Badenov, lâche moi, rend-toi ou casse-toi, mais si tu continu à me menacer, tu es cuit. Si sa peut t’arranger, tu peux te casser, je n’interviendrais pas. Met moi une droite et je dirai que sa ma sonné, et que ses pour cela que je n’ai pas réussi. A, au fait, emmène ton amie avec toi, car elle est coupable de non dénonciation d’un dangereux malfaiteur.

Félix espéra juste avoir était assez convaincant

Un huluberlu avait interrompu la conversation fort interressante entre Alathea et Torben, en ayant le mauvais gout de s'étaler complètement ivre sur la table, renversant tout sur son passage, et arrosant les voisins par la même occasion.
Cependant, il parraissait être une « connaissance » de son interlocuteur. Ce qui était très agaçant car la conversation était en train de couper court et Torben avait, de ce fait, trouver la très bonne occasion pour ne pas à avoir à répondre aux questions d'Alathea, ceci la laissant plongée dans un mystère encore plus grand.
Donc pendant que les deux gaillards se donnaient des noms d'oiseaux, Alathea, d'un mouvement bref de sa baguette remit tout en état. La table ainsi droite et les verres à leur place respectives, elle pouvait continuer à siroter son amarretto tout en admirant le spectacle.

Pourtant, cette confrontation inoportune avait eu pour effet de plus ou moins désaouler l'intrus.
Et voilà qu'il profferait des menaces contre elle maintenant... pourquoi? Parce qu'elle n'avait pas dénoncé son compagnon de table? Non, mais franchement. Et bien qu'il aille en parler au seigneur des ténèbres. Alathea riait sous cape en passant à la réaction de son maître.

Mais un détail la fit sursauter: pendant que les deux hommes se chamaillaient, une personne, dont le visage était caché par la grande capuche de sa cape noire, passa derrière elle, s'avança vers les deux gugusses, bouscula le grand Badenov, qui visiblement en voulait terriblement au jeune homme de lui avoir renversé sa boisson, et s'enfuie vers la porte de sortie suffisament vite pour que le fameux déserteur n'ait pas le temps de réagir et de le rattraper. Elle aurait juré qu'il lui avait glisser, ou pris quelque chose de sa poche.
En effet, un bout de papier, qui ne s'y trouvait pas avant que la mystérieuse personne à la cape noire ne les bouscule, dépassait de sa poche. Une feuille de papier jaunie et abîmée...

Allons bon! Qu'est-ce que c'était encore cette histoire... Alathea, qui quelques minutes auparavant était très amusée de voir les deux hommes en plein débat, avait désormais toute son attention vers ce petit bout de papier racorni.. Quelque chose lui disait que c'était très important, et allait lui donner un élément de réponse.
Elle s'approcha discrètement des deux hommes, qui ne faisaient absolument plus attention à elle, puis, tel un chat voulant attraper sa proie, elle approcha sa main de la poche de Torben, essayant d'attraper le mystérieux objet...

Et voilà que maintenant, le ministère se mettait à embaucher des clowns pour faire régner l'ordre dans le monde magique. Jaeger était l'archétype de l'incompétent chronique. Il était moche, stupide, faisait des erreurs de débutants, manquant terriblement de discrétion, incapable de mener une interpellation à bien, alcoolique eet alcoolisé en service... Non mais vraiment, celui là, fallait le saquer de l'armée du Ministre, un incompétent pareil! Il venait tout simplement de se dévoiler à la face de toute une assemblée, et se donnait ridiculement en spectacle devant tout le monde. Si jamais un ou des membres de la Renaissance l'apprenait, le vieux fourbe de Rogue allait se taper une jolie crise de rire. Idiot. Le pire peut être, était sans doute, le manque de réaction de la part du jeune homme. Ben oui, ilo était par terre, imbibé de liquides alcoolisés, immobilisé par un ennemi potentiel, et ne savait pas comment réagir. Si Torben avait été un ennemi, Jaeger serait déjà mort.

Et voilà qu'il se décidait enfin à réagir un peu, il était temps là! D'autant qu'Alathéa venait de terminer de remmettre la table en place, et siroter tranquillement son cocktail devant la scène. Encerclé par des mangemorts? Lord Voldemort avait envoyé un groupe de mangemorts, l'élite de ses troupes, avec lui à leur tête, un pauvre imbécile de trouffion? Non, c'était pas crédible. De plus, comme toujours depuis le début de sa cavale, Torben avait fait attention aux détails de Pré Au Lard avant de venir dans le bar et n'avait nulle part dans le village une quelconque trace de la présence de quelques antagonistes, mais n'avait absolument rien trouvé. Bah, au moins le jeune homme avait il fait quelque chose pour sa défense. l'ennui, c'était que Torben ne pouvait se débarasser de lui. ben oui, vous le voyez vous, le mangemort recherché pour désertion, en train d'assassiner un soldat du ministre sous les yeux d'une dizaine de témoins. D'ailleurs, il faudrait faire vite, si certains des spectateurs reprenaient leurs esprits et appelaient le ministère.

A ce moment là, un drôle d'individu courru vers Torben et lui glissa quelque chose dans la poche, mais le mangemort n'eut pas le temps de réagir avant que l'individu ne soit sortit. Eh bien, quelle vivacité! Torben était déconcerté, qu'est ce qui pouvait bien justifier une telle conduite? Etg puis, qu'est ce que cette personne lui avait déposé dans la poche. Bon, une chose à la fois. Torben mit sa main dans la poche pour sentir la chose. Un bout de papier. interessant. Mais il sentit également la main d'Alathéa. Torben sourit en relevant Jaeger et en l'asseyant a coté de lui.

- Ma chère, il était indiscret d'essayer de me faire les poches, n'oubliez pas qui je suis...
dit il

[i]Il se tourna a nouveau vers le soldat du Ministre, et pointa sa baguette sur lui.[i]

- Jaeger, vous allez me faire le plaisir de prendre un verre avec nous. pas de menace ni d'injurs, ni de gestes brusques, sinon vous êtes mort.

- Bien, Alathéa, dites moi ce que nous faisons ici maintenant.

Invité

Les choses ne se dérouler pas comme prévu. Non seulement Torben ne l’avait pas cru, pourtant Félix avait cru avoir était assez convaincant, mais en plus, Félix était retenu, contre son grès par Badenov qui lui ordonna de prendre un verre et de s’asseoir avec eux. Comme si Félix avait besoin de sa. Il souhaitait désormais partir et que l’on le laisse tranquille, qu’il lu foute la paix et que l’on en parle plus. Mais non, Badenov, dans son infinie sagesse, voulait qu’ils restent et qu’il écoute se qu’ils avaient à dire. Manquerait plus qu’il lui demande de payer une tourné général.

Il survint malgré tout un fait étrange. Peu de temps avant que Torben n’ordonne à Félix de s’installer à leur table et de boire un verre avec eux, un homme, à en jugeait par les apparences, avait bousculait Torben, et Félix crut le voir glissait un morceau de papier dans sa poche puis partit du bar avec une grande vivacité. Il vit aussi que la femme dénommait Alathéa avait vu ce que l’inconnu venait de faire, et dans son envie dans savoir plus, se dirigea vers la poche de Badenov dans laquelle l’inconnu avait glissé le bout de papier. Discrètement, elle glissa sa main dans la poche de Badenov, mais, comble de malchance, il apparaissait à Félix que soit Badenov l’avait sentit glissait sa main, soit il avait sentit l’inconnu lui glissait le bout de papier dans la poche. Toujours est-il que Badenov mit sa main dans sa poche au moment où Alathéa mettait elle aussi sa main dans cette même poche. Badenov lui fit alors comprendre que s’était très impoli de fouiller dans les poches, et même si Félix était plutôt d’accord avec Alathéa, car lui aussi avait envie de savoir ce que l’inconnu avait glissé dans la poche, il fallait admettre qu’elle ne manquer pas de toupet et n’avait pas peur.

Toutefois, Félix commençait à voir le bon coté de la chose. Il était au première loge pour observait ce qui allait se passer, pour apprendre des informations. En effet, cela pouvait se révéler intéressant, il suffirait que Badenov fasse une bourde, lâche une information, et voila, Félix monterait dans l’estime du Seigneur des ténèbres. Toutefois, Félix comprit vite qu’en réalité, ce n’était pas Torben qui avait les informations, mais Alathéa. En effet, apparemment, même Badenov ne savait pas ce qu’il faisait ici. C’était bien du Badenov sa, venir à un rendez-vous sans savoir pourquoi. Peut-être ne savait-il même pas avec qui. Et d’abord, pourquoi Badenov avait-il voulut que Félix reste. Félix se dit que seul l’esprit complexe et tordu de Badenov avait la réponse.

Tu peux m’expliquer pourquoi je dois rester avec vous à écouter vos histoires, Badenov. Bon en attendant, moi j’ai encore soif. Garçon !!!nous aimerions commander à boire !!!

Encore une fois, Torben Badenov ne laissa pas Alathea éclairer plus sa lanterne. Mais qu'avait-il donc ce type à vouloir tout cacher! Il devait être devenu réellement paranoïaque, à force de magouilles et de missions pas très claires.
Cependant, il invita son camarade à se joindre à leur table. Le jeune Felix Jaegger, puisqu'apparement c'était son nom, n'avait pas l'air très chaud quant à l'invitation, mais se ressaisit vite, peut être à l'idée de boire... D'ailleurs il commanda un nouveau verre. La conversation allait pouvoir donc reprendre, sans accroc et sans coupure cette fois.

- Bon. Monsieur Badenov. Je vous retourne votre question. Pourquoi êtes vous venu ici ce soir? Vous avez du recevoir une missive, un message, quelque chose qui vous a fait venir ici... et est ce que cette missive parlait d'Arthurus? Est ce qu'elle parlait de son meurtrier?
Je suis venue ici car on m'avait promis que le déserteur, qui à l'air d'être vous, saurait quelque chose à ce sujet.
Et voilà que vous êtes dans le même mystère que moi.
Qu'est-ce que vous avez fabriqué comme magouille avec mon mari?
Et puis, pourquoi un inconnu vous glisse quelque chose dans la poche... c'est quoi ce papier? Inutile de le cacher, nous l'avons tous vu.

Elle se tut et le regarda, voir sa réaction, ses indicateurs. Puis elle se tourna vers leur invité surprise.

- N'est-ce pas, monsieur Jaegger?

Torben Badenov commençait à être réellement consterné par l'attitude de son prétendu collègue Felix Jaeger. Nan mais regardez le! Il avait l'air parfaitement stupide ainsi, complétement bourré, berloquant d'un côté de la table à l'autre, incapable de bien se tenir droit! L'estonien était certes quelqu'un capable de picoler assidûment pendant des heures et des heures, mais jamais il n'aurait fait cela en service, et jamais il n'aurait tenté d'interpeller quelqu'un de bien plus fort que lui dans un état pareil... Quoique... il avait déjà essayer de s'en prendre à Severus Rogue une fois, alors que son sang s'était mélangé à son alcool. La rencontre avait eu une fin cuisante pour lui, il s'était retrouvé avec plusieurs membres brisés, et du sang qui s'écoulait de son corps d'un peu partout. Il avait même essayé de défoncé une grille pour s'en sortir, mais le résultat l'avait privé de son épaule pednant deux semaines, alors que la magie l'avait pourtant soigné. Le problème actuel n'était pas aussi sanguinolent, seulement, Felix lui cassait les pieds.

- Ecoutes Jaeger, si tu veux pas perdre de membre, tu te tais et tu bois d'accord? On en reparlera devant le Seigneur des Ténèbres, s'il consent à t'épargner...

Bon, v'la déjà le soulot de service de contenté, maintenant, la veuve noire... QUi recommença à le questionner, encore et encore. TOrben ne connaissait pas grand chose d'elle, mais se dit qu'il ne perdait rien à dire la vérité, du moins en partie...

- Le message me parlait juste d'une information importante que je pourrais acquérir, si je venais ici à cette heure, et on m'a fait mention de vous dedans. RIen sur votre mari et son meurtrier. Maguoille? La dernière fois que je l'ai vu, c'était pour boire un verre, au retour d'une mission de routine en allemagne, ça fait des lustres, avant la fin de la guerre! Ce papier 'mest adressé, et ne vous regarde en rien, sinon l'étranger ne l'aurait mis dans ma poche. Mais ne me retournez pas ma question, je vous l'ai psoée, et je sais être très... persuasif...
dit Torben en montrant sa baguette

Invité

Félix une pleine gorgée de sa pintes, sans même savoir ce qu’elle contenait. C’était de la bière et elle avait un bon gout, son arome était extrêmement agréable, et il la sentit descendre le long de sa gorge. Toutefois, la sensation de bien être de Félix se dissipa rapidement, il se sentait allait de moins en moins bien. Rien n’allait pour lui dans cette journée, il était déjà saoul mais on le forçait à boire, il était retenu en otage par un fou et en plus, l’enquête à laquelle il avait était affectait piétinait, faute d’informations ou de preuve intéressante. Une sale affaire. Un Mangemorts retrouvé pendu dans sa demeure, au bout d’un lustre. Un suicide en l’apparence. Oui, en l’apparence, car le fait qu’il y ait eu deux verre sur une table, dont un cassé, et le faits que des témoins ait vu sortir une personne justes avant l’arrivé de Félix, lui faisait plus croire à un meurtre.

Toutefois, Félix trouva Torben encore plus Félix but une pleine gorgée du contenu de son verre, qui se révéla être de la bière. Elle avait fou lorsqu’il lui dit qu’il l’amènerait devant le Seigneur des ténèbres. Le fou. Torben Badenov était un déserteur activement recherché, et ce n’est pas en ramenant un membre du ministère qui n’avait rien fait que sa situation s’arrangerait. Félix ne put s’empêcher de lui faire remarquer :

"Devant le Seigneur des Ténèbres, C’est bien ce que tu as dit ??? Parce qu’en fait, ce n’est pas en revenant avec moi qu’Il te pardonnera, moi je n’ai rien fait de mal, alors que tu es recherché pour désertion."
Félix but à nouveaux une gorgée de sa bière, mais il se sentit encore plus mal. De plus, Félix ne voyait toujours pas pourquoi il devait rester ici, avec eux. Non pas que sa le déranger, au contraire, Félix ne voyait pas de meilleur moyen de recueillir des informations, mais cela semblait assez stupide de la part de Badenov. Un mangemorts confirmé comme lui ne devrait pas faire ce genre d’erreur.

Félix commençait à devenir blanc comme un linge, il avait la tête qui lui tournait et suer à grosse goute. Il sentait qu’il allait rendre toute l’alcool qu’il avait ingurgité

Félix eu juste le temps de se pencher pour éviter de rendre sur la table. Il vomit et s’arrangeât pour éclabousser un peu les chaussures de Badenov, histoire de lui rendre un peu de toutes les humiliations qu’il lui avait infligées.

Alathea commençait réellement à désespérer... Mais que faisait elle ici?? Accompagnée d'un ivrogne et d'un dangereux psychopathe. Ah mon dieu, que ne fallait il pas faire par amour d'un homme...

Pour une fois, lorsque Torben disait qu'il ne savait pas plus qu'elle, il avait l'air sincère. Mais seulement cette fois! Car elle trouvait tout de même sacrément gonflé de sa part qu'il ne veuille pas lui faire partager son étrange missive.. Pourquoi? Pourquoi était il si peu ouvert sur lui même? Il devait avoir forcément quelque chose à cacher. .

Mais soudain, réflechissant à ce qu'il venait de dire, un mot, un seul retint son attention. L'Allemagne... Il s'était passé quelque chose en Allemagne... Une image d'une grosse chope de bière sculptée lui vint en tête.. quelque chose qui avait un rapport avec Arthurus... Matheo... la bataille de Poudlard... Torben.... un étranger.. un nom flamand...un papier jaune... Arthurus ... un incident recent...

Alathea se concentra, essayant de trouver un rapport, un lien quelconque avec tous ces différentes images. C'était dans le fond de sa mémoire, enfouie parce que jugé pas important à l'époque... voyons...

Arthurus...l'Allemagne.. Torben...papier jaune...un suicide ...

- MADRE MIA' MA SI!!! IO CAPITO ADESSO!!!!

Elle se tourna alors vers Torben, les yeux brillant d'excitation, les pièces du puzzle commençaient à se rassembler.
Elle se souvenait maintenant! Elle débitait à toute vitesse ce qu'elle venait de réaliser:

- L'ALLEMAGNE!! Arthurus est aussi parti là bas quelques semaines avant la grande bataille. Il nous a même ramené une grande chope, sculptée comme souvenir... Il est parti avec deux autres hommes, dont ce mangemort, le belge, qui s'est suicidé, et puis un autre.. il est revenu avec... avec...

Ses yeux se dirigeaient vers le bout de papier qui dépassait de la poche de Torben. Le papier jaune.. Il appartenait à son mari.
Elle le regarda alors, complètement ébahie..

- Ce papier... Arthurus l'avait quand il est revenu d'Allemagne...pourquoi vous..c'était donc vous le tr..

Mais elle ne pu finir sa phrase. L'autre voisin de table, qui, à partir du moment où il fut assis plongea dans sa grande pinte de bière, émit un bruit d'éructation, puis un flot liquide, puant et jaunâtre sorti de sa bouche pour atterir sur les chaussures de Torben... Bon. Là, il fallait se faire toute petite, parce que ça allait certainement chauffé..

Torben sentait que son énervement commençait à monter, graduellement peut être, mais il ne serait pas bon d'être dans le coin pour tous ces gens si jamais il avait une autre crise de folie dûe à sa colère. Bon déjà, si l'autre gugusse à son côté arrêtait un peu de faire son malin, ça l'arrangerait. l'infâme pochtron. Il avait dû boire toute la journée pour être dans un état pareil. Blanc comme un linceul, il avait le contour des yeux rougis par la boisson et la fatigue, déformant ses jeunes traits. Il y avait de drôles de petits mouvements au niveau de sa gorge, et il commençait à déglutir avec difficulté. Oula, celui va gerber! Aucune retenue en service, non mais vraiment! Le pire était que le jeune fol continuait à boire! Quand Torben l'avait assis de force à la table pour éviter le scandale, il n'aurait pas pensé que Jaeger accepte le verre. Bêtise sans nom, car l'imprudent jeune homme avait engloutit la pinte qu'on lui avait servit, pour ensuite le braver une nouvelle fois. D'un ton calme mais plein de toute l'autorité dont il était capable, il le prévint.

- Contrairement a toi, je n'ai pas toujours rien foutu de mes dix doigts, et j'ai déjà quelque crédit auprès du Ministre, après avoir remplit quelques dangereuses missions. Peux tu en dire autant? Je ne crois pas, alors fermes là jeune chien fou, et écoutes ceux qui ont de l'expérience. Tu mourras moins bête.

Même pas deux minues après, le jeune homme pâlit encore, si c'était possible, et se pencha sur le bord de la table, vomissant par à coup. Le mangemort devint rouge de fureur lorsqu'il sentit des éclaboussures se colelr au cuir de ses chaussures. Il serra les jointures de son poins, mais se força à se calmer. Ne pas attirer l'attention lui sauvait la vie. Il brandit a baguette vers la flaque orangeâtre

- Recurvite!

Les éclaboussures disparurent aussi vite qu'elles étaient venues, assainissant l'odeur du même coup.

- La prochaine fois que tu me fais un coup pareil, ton sang remplira un tonneau de la bière que tu affectionnes tant, compris? Bien.

Torben reporta son attention sur la veuve noire du message, Alathea, dont le visage s'éclaira soudain. Elle semblait enfin comprendre quelque chose à cette histoire, au grand dam de Torben, qui lui, pour changer, ne comprenait rien du tout! Soudain, ses yeux s'écarquillant, elle poussa une exclamation en italien. Punaise, sont tous obligés de parler étranger ici? Grands diables, quand lui jurait, le faisait il dans sa langue natale? Non, eh bien alors! Elle se tourna vers lui les yeux brillants, se rendant probablement compte, au moins en partie, le rôle qu'il avait joué dans cette histoire.

- Oui j'étais avec lui! Et alors, qu'est ce que celà change?

Là, il devait l'avouer, il ne comprenait rien. Lentement, il sortit le papier de sa poche, le déplia, et se mit à le lire...

Invité

Félix avait toujours le gout du vomit dans sa bouche. Quel horrible gout cela avait. Félix se dit qu’il vaudrait mieux qu’il ne vomisse plus sur Torben, car on dirait qu’il commençait à être sur les nerfs. Et pas qu’un peu d’ailleurs. Et d’abord, comment osait-il dire que Félix n’avait jamais rien foutu ? Il est vrai qu’il avait fait quelque erreur par le passé, mais c’était du passé.

Il semblait à Félix que ses deux voisins savaient en réalité beaucoup de chose. Juste qu’il ne mettait pas leurs informations en commun. Comme les pièces d’un grand puzzle dont chaque personnes avaient un certains nombre de morceaux, mais qu’ils mettaient longtemps avant de les mettre en commun. Il lui semblait toutefois que c’était lui qui disposait du moins de pièces. Pourquoi ? Peut être parce qu’il n’avait pas tiré le bon numéro à la loterie, ou qu’il n’avait pas de chance. En tout cas, le puzzle commençait à prendre forme, petit à petit. Il prit encore plus forme lorsqu’Alathéa jura en italiens ou autre chose, puis parla d’une mission en Allemagne, concernant son mari, un dénommé Arthurus, partit avec deux mangemorts, un belge, qui c’était suicidé, et un autre mangemorts. Elle parla aussi du papier que Badenov avait reçu, et qu’il tenait actuellement dans sa main. Elle disait que son mari l’avait lors de son retour d’Allemagne. Mais si Badenov l’avait, cela pouvait signifier que c’était lui, le troisième homme de la mission en Allemagne.

*m***e *

Le mangemorts, celui qui était belge une fois et qui c’était suicidé, il ne pouvait s’agir que de Basile Van Locken. Félix flairait le bon tuyau, car c’était lui qui était en charge de cette affaire. Il se dit qu’il allait sans aucun doute obtenir toute les informations qu’il avait besoin pour résoudre cette affaire. Toutefois, il se demanda si Badenov allait faire une crise de folie lorsqu’il avoua qu’il était avec Arthurus quand ils avaient été en Allemagne. Il avait maintenant la quasi-certitude que le troisième homme était Basile Van Locken. Félix se dit que les dernières pièces du puzzle allait arriver lorsque Badenov commença à lire le mot.

Finalement Alathea avait tapé juste! Ah!!! Enfin cette histoire prenait une tournure un peu plus précise.
Les souvenirs commençaient à lui revenir peu à peu:
Elle revoyait Arthurus rentrer à la maison après ce court voyage en Allemagne. Il avait l'air assez perturbé et ... excité.. comme si il avait fait une découverte surprenante. Il avait même voulu en parler à son fils mais pas à sa femme... ce petit détail ne l'avait jamais intriguée jusqu'àlors. Les hommes entre eux parlaient d'histoires d'hommes et cela ne concernaient en rien les femmes... Alathea avait gardé cette règle en tête depuis sa plus tendre enfance. Les parrains et autre comparses mafieux ne devaient jamais parler à leur femmes, pour les protéger, justement. La famille personnelle ne devait jamais se méler des affaires du chef de famille.
Ainsi, elle ne posait pas de questions sur le travail de son mari. Son rôle à elle était de maintenir une maison accueillante et confortable, et d'élever son fils. Point.

Mais maintenant, son mari étant mort, elle se retrouvait bien malgrès elle embourbée dans ses affaires et ses missions.
Donc chaque détail devenait important. et c'était un sacré exercice de mémoire à faire...

Mais pendant qu'elle recherchait dans sa tête de nouveaux éléments qui pouvaient faire avancer cette histoire et qu'elle voulu communiquer ce petit détail insignifiant de l'époque, Torben sortit le mystérieux papier de sa poche, pour le lire.

Piquée par la curiosité, Alathea ne pu s'empêcher de tendre la tête pour pouvoir voir ce que contenait cette mystérieuse missive.... rien... Juste des lignes mouvantes, qui semblaient indiquer un lieu, mais qui changeaient sans arrêt de place, tel des petits serpents translucides qui auraient étaient dessiné magiquement sur le papier jaunit...
Il y avait quelque chose d'écrit au dos de la feuille, mais dans une écriture transparente.. comme si on avait utilisé du citron pour le faire.

- Torben, passez le dos du papier sur une flamme je vous prie. Mais sans la bruler! Il y a quelque chose d'indiquer au dos de la feuille.

Torben fut satisfait, enfin, de voir que le jeune fou de soldat du ministre semblait comprendre malgré son état de fatigue et d'éthylisme plutôt avancé. D'ailleurs, à ce propos, le mangemort se demandait comme Jaeger arrivait encore à tenir debout. D'ailleurs, celà ressemblait plus a de la honte ou de la culpabilité, et Torben sut qu'il avait trouvé les mots justes pour atteindre Felix, et pour lui clouer le clapet une bonne fois pour toutes. Torben baissa le regard pour voir ses chaussures en cuir noir, pour détecter la moindre trace de vomissures de son incapable de voisin. Bon, au moins, il semblait avoir limiter les dommages collatéraux, de toutes façons si jamais il y aurait eu quelque chose, son supposé collègue aurait morflé, et Torben aurait bien expérimenté la bonne dizaine de façons de torturer qu'il connaissait par coeur pour lui inculquer les valeurs les plus élémentaires de la survie: ne jamais vomir sur les pieds d'un mangemort fou furieux tel que lui.

Après s'être occupé de Félix, qui semblait maintenant réfléchir, ce qui ne laissait par ailleurs rien présager de bon, le mangemort estonien reporta son attention sur la femme de son ancien ami Arthurus. Elle aussi semblait plongée dans ses pensées, les yeux légèrement vitreux, sans doute à l'évocation impromptue de souvenirs de feu son mari, mort il y a quelques temps maintenant. Bon, si aucun de ces deux bougres ne saurait le renseigner plus que ça, Torben saisit son verre et le vida d'un trait, avant de reposer son regard ténébreux sur le papier que l'inconnu lui avait glissé. Un plan. C'était tout ce que celà lui évoquait. Des lignes entrelacées, peu précises, sans échelle, sans rien, qui ne ressemblaient à aucun langage que Torben connaissait, indiquait de toutes évidences un plan malhabile, comme ceux pour les cartes au trésor dans les films moldus...

La carte au trésor... Ce pourrait il que ce soit celà? Lors de leur mission en Allemagne, les trois Mangemorts, lui, Arthurus et le Belge, avaient trouvé une formidable découverte... Cachée par l'un des deux autres, Torben ayant failli mourir peu de temps après de la main du Traître Severus Rogue. La convalescence fut longue, puis il y eut le putsch de Lord Voldemort, dont Torben, à peine rétablit, avait mené le groupe de mangemorts à la mission la plus périlleuse. l'installation et la sauvegarde du nouveau gouvernement avait occupé toute l'énergie de Torben, et ce dernier avait totalement oublié cette histoire... il n'avait même pas pu assister à l'enterrement de son ami. C'est alors qu'Alathéa intervint. Mettre une flamme et risquer de perdre son seul indice? Dur à réaliser pour Torben... Qui cependant s'executa... Il fit apparaître une petite flamme au bout de sa baguette à l'aide d'un sortilège informulé et plaça le papier au dessus. Rien ne se produisait.

- Jaeger, pas d'entourloupes. Et vous ma chère, qu'espériez vous y voir? De quoi êtes vous au courant?

Invité

Félix aimait la tournure que les évènements prenaient. Elle était agréable. Il sentait qu’il allait tout simplement résoudre l’affaire, alors que sa ne faisait que deux jours à peine quel était entre ses mains. Un délai extrêmement rapide, Félix dut l’avouer. Et ses supérieurs s’en rendraient compte. Par ici la petite promotion !!! Il reporta malgré tout son attention sur la table, et réfléchi à ce que Badenov lui avait dit. Il est vrai que ce n’est pas normal d’être ivre pendant le service, et encore moins lorsque l’on enquête sur une affaire aussi importante. Félix commençait à être ronger par la culpabilité. S’il y avait bu, c’était uniquement pour…
Pour faire quoi ? Pour rien ! Félix dut se rendre à l’évidence, il avait un vrai problème avec l’alcool.

Bizarrement, tout le monde semblait perdu dans ses pensait. Torben semblait réfléchir au moyen de percer le secret du papier, qui semblait être une carte. Enfin, une drôle de carte. Des lignes en mouvement constant, qui n’évoquait rien. Mais sa devait évoquer quelque chose, c’était certain !!!

Félix reporta son attention sur Alathéa, qui semblait être omnibullé par la carte et le contenu de ses pensés. A quoi pouvait-elle pensait ??? Peut être aux secret qu’elle pouvait révéler, ou peut-être pas. Il semblait en tout cas à Félix qu’elle en savait plus qu’elle ne voulait en dire, c’est du moins ce que lui disait son flair d’enquêteur. Mais bon, pour le moment, Félix ne pouvait pas trop si fier. Sa première enquête. Il ne pouvait pas encore se fier au flair, car c’est avec l’expérience que l’on apprend à si fier. Hors Félix n’en avait aucune. C’était un bleu. Il reporta une fois encore son attention sur la carte, même si pour le moment il n’en voyait que le dos, avec ses traces d’inscriptions quasiment imperceptible. Attendait, des inscriptions ??? Peut être que…

Trop tard. Alathéa les avait vu avant lui et les fit remarquer à Torben, en lui suggérant de passer une flamme, sans bruler la carte, pour les révélé si jamais elles avaient était faite par du jus de citron. Et ho !!! C’est bizarre sa n’a pas marcher. Comment cela se fait-il ??? Peut-être parce qu’il existe des moyens magique, et non des trucs de Moldus, pour faire passer des messages secret.

Badenov demanda alors à Alathéa se qu’elle espérer y voir, et ce qu’elle savait, et dit à Félix de ne pas faire d’entourloupes. Comme si Félix n’avait que sa à faire. Alathéa allait répondre à Badenov, mais Félix prit la parole avant :

"Primo, Badenov, j’ai plus à y gagner en restant bien sage, donc sauf si les choses prennent une tournure extrêmement différente de maintenant, il n’y aura pas d’entourloupe. Et secundo, je pense qu’il existe des moyens plus efficaces de révéler un message secret. Des moyens magiques, par exemple, non ??? Et je pense que deux grand sorcier tels que vous devaient bien en connaître quelques-uns? "

Bon, Ça y est, ça dégénérait encore une fois... ces deux lascards avaient vraiment du mal à rester tranquille ensemble sans se bouffer le nez.... raalala... les mec!

Alathea resta cependant concentrer sur le bout de parchemin, esperant y voir quelque chose, mais pour l,instant rien ne se produisait, à part peut-être que le dos du papier devenait de plus en plus noir....

Mais Torben était décidemment bien soupçonneux envers elle, lui reprochant d'en savoir plus que ce qu'elle prétendait.
Sur ce, elle rétorqua:

- Je n'en sais pas plus que vous Torben, et même moins, puisque ce n'est pas moi qui était en Allemagne! Et j'essais de comprendre autant que vous la situation. Par contre, une chose est sure, c'est qu'il s'est passé quelque chose là-bas, car quand Arthurus est rentré, il était vraiment préocupé par quelque chose, mais ne m'a jamais dit quoique ce soit.

Puis elle se tourna vers Felix

- Oui, c'est vrai qu'il peut y avoir des moyens plus efficaces pour trouver un message caché, mais les moyens les plus simples et bêtes sont souvent ceux auquels on pense le moins. Donc, j'y pense en premier. Voilà!

Elle reposa son attention sur le papier jaunit, que Torben était en train de chauffer. Quelque chose était en train d'apparaitre. Une petite écriture en pâte de mouche.. le petit problème était qu'Alathea avait un peu de mal à lire à l'envers...

Torben fut encore plus déçu par son homologue serviteur du Lord alors qu'il semblait avoir honte d'avoir autant bu aujourd'hui en plein service et probablement en pleine enquête. D'ailleurs, quand il aura réussit à tirer au clair le pourquoi du comment de sa présence en ce lieu, il aurait une petite discussion avec l'agent Jaeger, histoire de voir un peu la raison de la présence du soldat ici. Soit il se passait quelque chose en relation avec Poudlard vu la proximité du village avec le château, soit il était présent pour la seule probabilité de la présence de Torben dans les parages, auquel cas il pouvait parfaitement s'agir d'une embuscade, et d'ailleurs celà pouvait expliquer pourquoi le jeune homme ne s'était pas encore fait dessus par la seule présence d'un sorcier réputé aussi fou et dangereux que Torben, poltron qu'il était, ce Jaeger.

Alors que le mangemort estonien commençait à se prendre la tête avec la madone italienne, le jeune Felix reprit ses interventions impromptues, encore pour dire n'importe quoi, évidemment. le jour où cet imbécile parviendrait à prononcer des phrases sensées, Lord Voldemort serait déchu, c'est à dire jamais! Sans déocnner, il exister des moyens magiques? Raaaaah ben mince alors, comme si je n'y avaois pas déjà pensé, imbécile . Faut tout leur apprendre aux nouveaux. Si c'était tout ce qu'il restait au lord, Torben espérait que la situation n'était pas aussi catastrophique qu'elle aurait pu en avoir l'air.

- T'es un grand comique Jaeger, tu nous prends pour des débutants? Dessoules cinq minutes, mais tu restes à côté, j'vais avoir besoin de toi après, alors t'en vas pas, sinon tu le regretteras.

Sans doute pour calmer le jeu, la femme de son ami Cooper prit la parole, pour lui dire une fois de plus qu'elle n'en savait pas plus que lui sur cette affaire. Torben était sûr du contraire.

- Alathéa, il s'est passé beaucoup de choses en Allemagne, et aucune ne vous regarde, tenez vous le pour dit. Votre mari n'est pas mort à ce qu'on a pu faire là bas croyez moi.

Un petit quelque chose se passait. il voyait les yeux de la belle femme s'agrandir légèrement, pointés sur la carte qu'il avait entre les mains. Fronçant les sourcils, l'estonien regarda attentivement ce qu'il s'y passait, et pu y lire:

"cartam revela ... manque..."

" rien chez les coopers'
" le mot est la clef"

Qu'était ce? Torben avait beau réfléchir, celà n'évoquait rien... Hormis peut être ce que les trois mangemorts avaient découvert en Allemagne... Le butin secret de leur opération. Torben, les yeux perdus dans le vague, voyait de nouveau les richesses entassées. Les cadavres de ceux qu'ils avaient tué. Mais ce message indiquait clairement qu'il n'y avait rien chez les Cooper.. Qui pouvait être au courant de cette affaire vieille de plusieurs années ? Ce ne pouvait être le troisième larron, il était mrot.. Qui? Torben tendit le papier vers Alathéa pour qu'elle le lise.

- Il semblerait ma chère, que votre maison ait été fouillée par quelqu'un que je ne saurais identifier... Qu'est ce que votre mari a t'il ramené d'Allemagne dites moi?

Invité

Et oui !!! Je suis un comique !!! J’étais clown, jadis, il fut un temps, autrefois, enfin il y a longtemps quoi . Félix était énervé. Il essayait juste de faire avancer la recherche d’indice ou le décryptage du message secret. Oui, c’est vrai qu’il aurait du y réfléchir avant de parler à travers. Mais bon, il était comme sa, on ne pouvait pas le changer. Ou peut-être que si. En fait, sa dépend des manières utilisé. Non, même pas, Félix était pour l’instant un incorrigible boulet qui se saouler pendant son service au lieu d’enquêter. N’importe quoi. Si il espérait montait en grade, il avait intérêts à arrêter les conneries et à se mettre à rapporter du résultat. Parce que pour le moment, sa première enquête piétine, il se fait surprendre par un mangemort ivre pendant son service… décidemment, la journée était mauvaise pour lui.

Félix ne compris pas pour quoi il lui demandèrent de partir. C’est sa, dites que je gêne. Félix était frustré, sa mine fit comme un enfant qui boude, mais il partit jusqu’à la table d’à coté. En partant, il marmonna tout seul, mais les autres ne l’entendirent pas. Heureusement, sinon se grincheux de Badenov aurait encore râlé. Il ne savait faire que sa. Félix était sur qu’il devait râler en se levant le matin et en allant coucher le soir, et râler entre ses deux moment.

Arriver à la table d’à coter, il commanda une boisson SANS alcool, parce qu’il doutait être en mesure de boire autre chose.

Félix les regardaient, toujours en train de parler, ne lui prêtant aucune attention. Il espérait juste qu’il ne mette pas trop longtemps à le rappeler, histoire que l’envie ne lui prenne pas de partir, ou pire, de commander de l’alcool, ou pire, une fille facile . Même si il doutait que sa se trouve à Pré-au-Lard.

Et comme d'habitude, nos deux lascards continuaient à se chamailler, à s'envoyer des vannes.. on aurait dit deux gamins.... Alathéa se dit à ce moment là qu'elle était heureuse de n'avoir qu'un enfant, pas deux.. déjà un seul suffisait amplement à créer une certaine ambiance à la maison.. mais alors deux!

D'ailleurs, Felix Jaegger en avait tellement plein les bottes de se faire tailler des costards par Torben, qu'il changea de table et alla bouder dans son coin.
La jeune femme le regarda avec un petit air de compassion: le pauvre... il fait ce qu'il peut.. Bon, dans un autre sens Torben n'avait pas tord: ce n'était pas très malin de vouloir faire son devoir de soldat du Lord bourré comme une huître!

Elle commençait même à ressentir une certaine pitié pour le jeune homme. Elle voulu aller vers lui pour lui dire de rester avec eux et de ne pas écouter les réflexions mal placées de Torben, mais, justement, ce dernier la ramena dans le temps présent, au centre de l'affaire qui les interressaient: la carte et son code secret.
Elle ravala alors son instinct maternelle pour reprendre celui d'agent du Ministère.

Tiens? Elle avait vu juste avec le jus de citron... hé!hé! Comme quoi, les idées les plus simples sont souvent les meilleures.

Elle regarda le papier jauni que lui présentait Torben.

- "Cartam revela...manque..." euh... et bien c'est du latin.. mais je pense que vous l'avez déjà constaté, Monsieur Badenov... Vous connaissez le latin? En tout cas c'est très proche de l'italien.. vous avez de la chance!

Puis, après sa petite remarque narquoise, ponctuée par un petit sourire en coin, qui devait normalement exaspérer au plus haut point Torben, elle regarda les mots suivants:

- "rien chez les Coo.." QUÉ?!? Mais vous avez raison!! On a du fouiller chez moi!

Là, elle ne souriait plus du tout. Quelqu'un était rentré chez elle, pour fouiner dans sa vie privée et celle de sa famille... mais c'est pas vrai! Ah si Arthurus était encore vivant... il serait devenu sourd, tellement elle lui aurait déchirer les oreilles avec sa voix stridante...Elle se concentra alors, pour rassembler ses souvenirs. Alors...voyons voir...qu'est-ce que ce batard de mari avait ramené..

- Une chope...il a ramené une grande chope de bière, sculptée... Vous croyez que cette chope pourrait nous donner un nouvel indice??

Elle commença à rouler des yeux, et fixa Torben, comme si elle devina ses intentions:

- AH NON! ON NE VA PAS CHEZ MOI!

L'incident avec Arielle, une autre mangemorte lui avait effleuré l'esprit. Alors, avoir deux mangemorts chez elle! Ah non! C'était pire que des gamins!

Torben avait du mal à se concentrer. Il y avait du monde dans ce bar ce soir, et le bruit des conversations tout autour d'eux commençait à lui procurer un fichu mal de crâne, ce qui était bien malheureux, étant donné qu'ils étaient en train de déchiffrer une sacrée énigme qui recoupait des évènements dangereux qui s'étaient déroulés quelques années plus tôt. De plus, l'alcool, ou plutôt les vapeurs, qui se dégageaient des naseaux du troufion Jager commençaient à lui tourner la tête. D'ailleurs, où était passé ce foutu soulard? Torben venait de lui dire de se tenir quelques minutes tranquille pendant que lui et la veuve noire s'occuperaient de décrypter ce maudit plan. Le jeune mangemort estonien étudia les gens dans la salle, et s'aperçut que le jeune chien fou s'était carapaté à une table à côté. Nan mais quel bouffon! Il ne comprenait rien à rien décidément. Comment un homme pareil pouvait il avoir été recruté pour servir dans les armées du Lord?

- Hé comique, tu reviens poser tes fesses ici! Je t'ai pas dit de partir, juste de dessouler, poivrot! Reviens ici, j'veux garder un oeil sur toi.

La femme de feu son ami se mit à lui parler en latin, et même si Torben n'avait jamais étudié cette vieille langue morte aussi assidument qu'il aurait dû le faire, il devait avouer qu'il avait quand même des rudiments, et une petite chance de savoir déchiffrer ces quelques mots. Seulement, coup de chance pour une fois, Alathéa semblait à même de pouvoir déchiffrer ce langage obscur, ayant des origines italiennes, elle lui dit qu'elle était capable de faire la traduction. Tant mieux, ce serait déjà ça de moins à faire pour le mangemort, qui commençait à en avoir marre de se faire entrainer dans des histoires pas possibles.

AU moins, ce fut assez drôle lorsque le sourire sarcastique de sa vis à vis s'effaça pour une expression outrée. Elle venait de réaliser que sa maison avait été fouillée, ce qui devait être singulièrement déplaisant, étant donné qu'elle avait un gosse, si Torben se souvenait bien. Oui, en ce moment m^me, Alathéa devait bien avoir peur pour la sécurité de son logis, si quelqu'un s'était introduit chez elle sans qu'elle ne soit au courant ni ne remarque aucune trace.

- Nous devons y aller Alathéa, si vous voulez que cette histoire prenne fin. Moi, personnellement, je n'ai que faire de toute cette histoire, mais je crois pouvoir deviner que vous préféreriez que la personne qui s'est introduite chez vous soit arretée... non?

Invité

Il ne savait vraiment pas ce qu’il voulait celui là !!! Il y a pas 5min, Badenov lui a dit d’allais dessaouler sur la table d’a coter, et voila que maintenant, il devait revenir et qu’il aurait jamais dut partir.il serait pas un peu en train de ce payer la tête de Félix là Badenov ??? Mais bien sur que si, et puis, Félix avait peut-être mal compris, il était quand même bourré donc pas facile de réfléchir (les mauvaise langues diront que je n’ai pas besoin d’être bourré pour ca).

Enfin soit, Félix se leva et retourna s’asseoir sous les regards de ses deux « compagnons ». Alathéa semblait particulièrement énervé par les deux membres du ministère. Félix la comprenait, ce ne devait pas être marrant d’être dans ce bar mal famé pour une femme tel qu’elle, mais en plus, elle était là pour enquêter sur la mort de son mari, d’après ce que Félix avait compris, et en plus, au lieu d’être tranquille et de discuter avec Badenov, Félix était venu foutre tout en l’air et déranger tout le monde, ce qui en plus à pour effet de déclencher des chamailles continuels entres les deux serviteurs du Lord.

Désolé Badenov, mais je ne suis pas très clair et j’ai mal compris ce que tu m’avais dit.

Visiblement, ils étaient en train de percer à jour le mot, et Félix ne put que s’en réjouir. Toutefois, le mot n’avait pas l’air de plaire à Alathéa. Et Félix compris pourquoi. Sa maison avait été fouillée. Si jamais elle avait des enfants, ils risquaient d’avoir des problèmes, et sa, ce n’était pas bon. Elle parla ensuite d’une chope, souvenir de la mission de son mari en Allemagne. Mais Badenov insista en disant que c’était impératif. Félix se demanda ce qu’il allait devenir.

Et moi, si vous allez dans la demeure d’Alathéa, est ce que je vous accompagne ???

Félix espérer intérieurement que oui, cela lui permettrait sans aucun doute d’avancer dans son enquête.

Vu que les deux hommes étaient bien décidés à se rendre jusqu'à chez elle pour poursuivre l'enquête, ce qui l'ennuyait à première vue, mais l'arrangeait tout de même, car ils l'aidaient aussi d'une certaine manière, elle griffona sur un bout de nappe son adresse qu'elle donna aux deux, et leur suggera de transplaner tout de suite. Elle se leva, direction la sortie, après avoir payer sa consommation et celle des deux hommes.
Quand elle fut sortie du pub, et que les deux comparses l'aient rejointe, elle leur dit:

- Mais attention! Si vous vous chamaillez encore, vous finirez la soirée dans ma cabane à outils!

Sur ce, elle se retourna et transplana.
[HJ: La suite se trouve ici: https://renaissance.forumsactifs.com/demeure-des-cooper-f188/et-la-chasse-continue-pv-torben-felix-t1550.htm ]

» Etrange rencontre (pv felix)